Plus de 3 700 militaires ont marché au pas lundi matin sur l’avenue des Champs-Elysées, à Paris. La1ere.fr a retrouvé les soldats ultramarins que nous avions suivis la semaine dernière lors des répétitions. Retour en images sur le défilé du 14 juillet.
115 pas par minute, voilà la cadence des troupes qui ont foulé les Champs-Elysées lundi matin à Paris pour le 14 juillet. Parmi les militaires, La1ere.fr a retrouvé les soldats originaires d’Outre-mer que nous avions rencontrés la semaine dernière. Sous un ciel relativement clément, ils ont défilé aux sons des "AH… !" et des "OH…. !" des passants admiratifs.
D’autres militaires, à l’inverse, affichent une mine sereine. C’est le cas de Neoere, ce Kanak de 27 ans originaire de l’Île des Pins en Nouvelle-Calédonie (à droite sur la première photo de notre diaporama ci-dessous). Dans ses habits de marin (il est manœuvrier à bord de la frégate Guépratte), il arbore un grand sourire. "On s’est levés à 5h ce matin, explique-t-il. Par rapport à d'habitude, c’est la grasse mat’ ! Par chance, on a même pu regarder la finale de la Coupe du monde hier soir… Maintenant, il n'y a plus qu'à faire le travail, tout va bien se passer." La confiance a payé : au terme du défilé, rien à signaler.
Stress et excitation
Quelques heures avant le défilé, certains apparaissent un peu tendus, à l’image du caporal chef Teinauri. Cette Polynésienne de 28 ans est la seule femme parmi les représentants du 8ème régiment de parachutistes d’infanterie de marine (à droite sur la photo ci-dessous). Comme souvent, le 8ème RPIMA est mis à l’honneur lors de la fête nationale. Il intervient régulièrement en première ligne lors des opérations à l’étranger, telles que "Sangaris" en Centrafrique.D’autres militaires, à l’inverse, affichent une mine sereine. C’est le cas de Neoere, ce Kanak de 27 ans originaire de l’Île des Pins en Nouvelle-Calédonie (à droite sur la première photo de notre diaporama ci-dessous). Dans ses habits de marin (il est manœuvrier à bord de la frégate Guépratte), il arbore un grand sourire. "On s’est levés à 5h ce matin, explique-t-il. Par rapport à d'habitude, c’est la grasse mat’ ! Par chance, on a même pu regarder la finale de la Coupe du monde hier soir… Maintenant, il n'y a plus qu'à faire le travail, tout va bien se passer." La confiance a payé : au terme du défilé, rien à signaler.
Découvrez ci-dessous notre diaporama du défilé avec les militaires originaires d’Outre-mer