Ils ont tous succombé au rêve polynésien, répondu à l'appel de l'Océan ou cédé à l'attrait de la forêt guyanaise. Ce sont des métropolitains partis à l'aventure il y a deux ou trois décennies. Une fois sur place il a fallu déchanter, difficulté de travailler, vivre de débrouille et basculer dans l'alccol ou la drogue.