Le président Édouard Fritch est en mission à Paris pour défendre la version du toilettage du statut de la Polynésie proposée par sa majorité. Avec le président de l’assemblée et des parlementaires, il a rencontré le rapporteur du Sénat.
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Le projet de loi organique modifiant le statut de la Polynésie française sera examiné au Sénat le 13 février. La semaine précédente, le 6 février, le texte sera examiné par la commission des lois du Sénat.
Avant que les sénateurs ne se prononcent sur le projet de réforme, le président de la Polynésie française veut les convaincre de tenir compte des modifications apportées au texte par le Tapura. Les élus de la majorité proposent 11 amendements et 24 nouveaux articles sur un texte qui en compte 18, initialement. Les propositions concernent notamment le volet nucléaire. Le projet de loi organique confirme la reconnaissance par la nation du fait nucléaire et de ses conséquences, et il sanctuarise la DGA. Mais la Polynésie veut aller plus loin.
Dans ce cadre, une première rencontre a eu lieu à Paris. Édouard Fritch a rencontré Mathieu Darnaud, sénateur de l’Ardèche, rapporteur du projet de loi organique modifiant le statut de la Polynésie française. Le rapporteur était accompagné de trois administrateurs du Sénat. De son côté, le président de la Polynésie était venu accompagné du président de l’assemblée locale, Gaston Tong Sang, et des parlementaires de la majorité Lana Tetuanui, Nuihau Laurey, Maina Sage et Nicole Sanquer.
Selon un communiqué de la présidence, les élus polynésiens ont non seulement présenté les modifications proposées par l’assemblée, mais aussi les recommandations issues du CESC (conseil économique, social et culturel) et du SPC (syndicat pour la promotion des communes).
Avant que les sénateurs ne se prononcent sur le projet de réforme, le président de la Polynésie française veut les convaincre de tenir compte des modifications apportées au texte par le Tapura. Les élus de la majorité proposent 11 amendements et 24 nouveaux articles sur un texte qui en compte 18, initialement. Les propositions concernent notamment le volet nucléaire. Le projet de loi organique confirme la reconnaissance par la nation du fait nucléaire et de ses conséquences, et il sanctuarise la DGA. Mais la Polynésie veut aller plus loin.
Dans ce cadre, une première rencontre a eu lieu à Paris. Édouard Fritch a rencontré Mathieu Darnaud, sénateur de l’Ardèche, rapporteur du projet de loi organique modifiant le statut de la Polynésie française. Le rapporteur était accompagné de trois administrateurs du Sénat. De son côté, le président de la Polynésie était venu accompagné du président de l’assemblée locale, Gaston Tong Sang, et des parlementaires de la majorité Lana Tetuanui, Nuihau Laurey, Maina Sage et Nicole Sanquer.
Selon un communiqué de la présidence, les élus polynésiens ont non seulement présenté les modifications proposées par l’assemblée, mais aussi les recommandations issues du CESC (conseil économique, social et culturel) et du SPC (syndicat pour la promotion des communes).