La fin de la récolte de la canne a été finalement fixée au 2 juillet prochain. Une marge suffisante pour traiter les 38 000 tonnes encore à couper en Grande-Terre et en Basse-Terre.
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La date a été arrêtée hier après-midi par le Comité de liaison pour la fin de la campagne sucrière dans les bassins de Grande-Terre et de Basse-Terre. Les acteurs de la filière se sont donc donné une marge suffisante pour traiter les 38 000 tonnes de cannes restant à couper, en tenant compte notamment des phénomènes pluvieux qui peuvent retarder la récolte.
Les revenus des planteurs seront maigres cette année, du fait des faibles rendements dus à la sécheresse de l’an dernier, et des faibles richesses saccharines, liées à une campagne pluvieuse de cette année.
Pour compenser en partie ces pertes de revenus, des aides supplémentaires ont été proposées hier en Comité de liaison. Il s’agit d’utiliser le reliquat prévisible sur l’enveloppe versée chaque année par l’Etat aux planteurs pour compléter le prix payé par l’usine. Le montant annuel de cette « aide à la garantie de prix » est de plus de 20 millions d’euros. Et comme la récolte 2016 ne devrait pas dépasser les 500 000 tonnes, Marie-Galante comprise, le reliquat à distribuer aux planteurs cette année sera important.
Voir :
Les revenus des planteurs seront maigres cette année, du fait des faibles rendements dus à la sécheresse de l’an dernier, et des faibles richesses saccharines, liées à une campagne pluvieuse de cette année.
Pour compenser en partie ces pertes de revenus, des aides supplémentaires ont été proposées hier en Comité de liaison. Il s’agit d’utiliser le reliquat prévisible sur l’enveloppe versée chaque année par l’Etat aux planteurs pour compléter le prix payé par l’usine. Le montant annuel de cette « aide à la garantie de prix » est de plus de 20 millions d’euros. Et comme la récolte 2016 ne devrait pas dépasser les 500 000 tonnes, Marie-Galante comprise, le reliquat à distribuer aux planteurs cette année sera important.
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