25 décès, 640 personnes hospitalisés et près de 81.000 patients ayant consultés leur médecin-traitant :l’ARS l’agence régionale de santé et l’Institut de Veille Sanitaire Antilles-Guyane ont organisé un séminaire regroupant l’ensemble des acteurs de cette crise
Plus de 80 000 consultations, 40% de la population infecté, 25 décès directement ou, le plus souvent, indirectement liés, 1 million d’euros de pulvérisation et de campagne d’information, voilà résumé en quelques chiffres l’épidémie de chikungunya qui, de janvier à août 2014, a fait courbé les corps, les esprits et l’économie de la Gpe. La rencontre d'hier entre les professionnels de santé, chercheurs, administrations d’état et services municipaux avait un objectif : faire le bilan des actions menées, pour en tirer le maximum d’enseignements, et élaborer des recommandations pour une meilleure gestion des épidémies futures.
Un séminaire d’autant plus important qu’un autre virus « Le ZIKA », transmis par le même moustique que la dengue et le chik, « l’aedes aegypti » a nouvellement été détecté Brésil et risque fort de nous intéresser, à plus ou moins long terme. Même si la menace n’est pas encore avérée, les risques existent bel et bien. La bonne nouvelle, c’est que le zika, même au stade épidémique, est une maladie très bénigne.
Un séminaire d’autant plus important qu’un autre virus « Le ZIKA », transmis par le même moustique que la dengue et le chik, « l’aedes aegypti » a nouvellement été détecté Brésil et risque fort de nous intéresser, à plus ou moins long terme. Même si la menace n’est pas encore avérée, les risques existent bel et bien. La bonne nouvelle, c’est que le zika, même au stade épidémique, est une maladie très bénigne.