Depuis l'annonce du Président de la République, de nombreux parents s'interrogent sur la manière de gérer l'absence de cours. Le Recteur d'Académie a présenté son plan de continuité pédagogique. Il va mettre en oeuvre le principe des classes virtuelles
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Dès lundi, les établissements scolaires, de la maternelle à l’université, seront fermés en Guadeloupe, à Saint-Barthélémy et à Saint-Martin, et ce jusqu’à nouvel ordre.
Pour le Rectorat, il était donc important de mettre en place un palliatif qui permettra d'assurer la continuité pédagogique et surtout, maintenir un contact régulier entre l’élève et ses professeurs. Le Recteur Mostafa Fourar s'est lui-même rendu ce vendredi matin à l’école de Besson puis au collège Aurélie Lambourde aux Abymes.
Dans un premier temps, il revient au chef d’établissement de s’assurer, notamment en prenant appui sur les réseaux existants (en particulier les espaces numériques de travail, messagerie électronique ou les outils similaires propres aux établissements privés), que l’élève a accès aux supports de cours et qu’il est en mesure de réaliser les devoirs ou exercices requis pour ses apprentissages.
Chaque établissement doit aussi mettre en place un service de continuité pédagogique qu'il devra faire fonctionner aussi longtemps que la crise durera.Un service qui peut d'ailleurs s’appuyer sur la plateforme pédagogique gratuite du CNED : « Ma classe à la maison ». Il offre, entre autre chose, la possibilité de tenir des classes virtuelles, permettant ainsi de maintenir le lien humain entre l’élève, ses camarades et ses professeurs. Il sera accessible aux élèves concernés de la Grande Section à la Terminale.
VOIR :
C’est le chef d’établissement qui communiquera l’adresse et les modalités d’inscription pour se connecter à la plateforme « Ma classe à la maison ». Chaque élève bénéficiera de son propre compte.
Les professeurs accompagneront leurs élèves pendant toute la période de fermeture dans l’utilisation de ces ressources en leur adressant supports de cours et exercices via l’environnement numérique de travail (ENT) ou la messagerie électronique.
- « Ma classe à la maison » contre le coronavirus : comment ça marche ?
Pour le Rectorat, il était donc important de mettre en place un palliatif qui permettra d'assurer la continuité pédagogique et surtout, maintenir un contact régulier entre l’élève et ses professeurs. Le Recteur Mostafa Fourar s'est lui-même rendu ce vendredi matin à l’école de Besson puis au collège Aurélie Lambourde aux Abymes.
Comment ça marche ?
Dans un premier temps, il revient au chef d’établissement de s’assurer, notamment en prenant appui sur les réseaux existants (en particulier les espaces numériques de travail, messagerie électronique ou les outils similaires propres aux établissements privés), que l’élève a accès aux supports de cours et qu’il est en mesure de réaliser les devoirs ou exercices requis pour ses apprentissages.
Chaque établissement doit aussi mettre en place un service de continuité pédagogique qu'il devra faire fonctionner aussi longtemps que la crise durera.Un service qui peut d'ailleurs s’appuyer sur la plateforme pédagogique gratuite du CNED : « Ma classe à la maison ». Il offre, entre autre chose, la possibilité de tenir des classes virtuelles, permettant ainsi de maintenir le lien humain entre l’élève, ses camarades et ses professeurs. Il sera accessible aux élèves concernés de la Grande Section à la Terminale.
VOIR :
- « Ma classe à la maison » contre le coronavirus : comment ça marche ?