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Une victoire juridique, certes, mais en demi-teinte pour Gilles Bazir. La cour administrative d'appel de Bordeaux redonne à l'ancien directeur du SDIS ses galons de contrôleur général mais ne valide pas l'arrêté de directeur départemental. Pour la Cour, sa prise de fonction avait eu lieu sur ce poste avant qu'il ne soit vraiment créé. Il ne pouvait donc pas se prévaloir de ce titre.