Polémique autour de la mort de l'ancienne doyenne de l'humanité, la jamaïcaine Violet Moss Brown... La décision de sa famille de confier son corps à l'Université des West Indies a été critiquée par les membres de la communauté de Duanvale, où elle résidait, dans le nord de la Jamaïque.
•
Samedi dernier, lors d'un hommage religieux, l'un de ses fils s'en est pris avec violence à ceux qui remettaient en cause le don du corps à la recherche scientifique.
L'un des fils de Violet Moss-Brown, doyenne de l'Humanité, jusqu'à sa mort, le 15 septembre dernier, à l'âge de 117 ans et 189 jours a violemment taclé ceux qui critiquaient la décision de la famille de faire don du corps de la vieille dame pour des recherches scientifiques autour de son exceptionnelle longévité. Il s'en est d'ailleurs pris aux médias, lors de la cérémonie à l'église baptise Trittonville.
Une première polémique était déjà née, peu de temps avant le décès de Violet Moss Brown. Un désaccord entre les membres de la famille, sur qui s'occuperait de la supercentenaire durant ses derniers jours. Barry Russell avait indiqué qu'il n'avait pas apprécié la façon dont les médias avaient relaté ces histoires de famille. Selon lui, les gros titres, avaient à l'époque, parlé de kidnapping car les membres de la famille de la supercentenaire avaient décidé de l'installer dans une autre maison que la sienne.
Depuis le décès de Violet Moss Brown, c'est désormais la Japonaise Nabi Tajima. La nouvelle doyenne de l'humanité à 117 ans. Elle est née le 4 août 1900.
L'un des fils de Violet Moss-Brown, doyenne de l'Humanité, jusqu'à sa mort, le 15 septembre dernier, à l'âge de 117 ans et 189 jours a violemment taclé ceux qui critiquaient la décision de la famille de faire don du corps de la vieille dame pour des recherches scientifiques autour de son exceptionnelle longévité. Il s'en est d'ailleurs pris aux médias, lors de la cérémonie à l'église baptise Trittonville.
Un don à l'université des West Indies critiqué
Barry Russell n'y est pas allé de main morte, lors d'une messe d'action de grâce en mémoire de sa mère. Il a expliqué que sa dépouille serait plus utile à l'université des West Indies que dans le cimetière de Duanevale, sa ville de résidence. Il estime que les critiques émanent de personnes qui, contrairement à sa mère, "ont toute leur place dans une tombe, car leurs cerveaux liquéfiés n'ont aucune utilité pour quiconque". Malgré les tentatives du pasteur qui célébrait le culte de calmer les choses, le fils de Violet Moss Brown a poursuivi : "Si nous devons remercier Dieu pour son héritage, ceux qui nous condamnent ne sont rien d'autre que des sots". Finalement, la cérémonie s'est conclue sur un message d'apaisement du pasteur qui a exhorté tous les participants à laisser la vie de rejaillir sur eux et à les aider à vivre dans la paix et dans l'harmonie.Une première polémique était déjà née, peu de temps avant le décès de Violet Moss Brown. Un désaccord entre les membres de la famille, sur qui s'occuperait de la supercentenaire durant ses derniers jours. Barry Russell avait indiqué qu'il n'avait pas apprécié la façon dont les médias avaient relaté ces histoires de famille. Selon lui, les gros titres, avaient à l'époque, parlé de kidnapping car les membres de la famille de la supercentenaire avaient décidé de l'installer dans une autre maison que la sienne.
Depuis le décès de Violet Moss Brown, c'est désormais la Japonaise Nabi Tajima. La nouvelle doyenne de l'humanité à 117 ans. Elle est née le 4 août 1900.