Le ministère de la Justice cherche actuellement de nouveaux locaux provisoires, l’option de la caserne Loubère n’étant qu’une solution d’urgence. Le Tribunal de grande instance est fermé depuis un mois et demi à cause de la présence d’amiante.
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Le ministère de la Justice cherche actuellement de nouveaux locaux provisoires, l’option de la caserne Loubère n’étant qu’une solution d’urgence. Le Tribunal de grande instance est fermé depuis un mois et demi à cause de la présence d’amiante.
Impossible donc de rester de longs mois à la caserne Loubère, l’option mise sur la table par l’armée n’était qu’une solution temporaire. Selon nos informations le ministère de la Justice s’affaire donc pour trouver de nouveaux locaux pour la tenue des audiences pénales et civiles mais pas uniquement, une proposition a par exemple été faite pour les actes d’instruction dans des locaux au niveau du Centre pénitentiaire de Rémire, provoquant une levée de boucliers des avocats.
Reste que le Palais de justice a pour bon nombre d’activités l’obligation de trouver une alternative dans le périmètre de Cayenne, une gageure qui mobilise jusqu’au plus haut niveau du ministère de la Justice. L’un des risques de cet éclatement des lieux de travail au sein de la juridiction, c’est de voir se multiplier les renvois d’audience à cause de l’absence des parties, ce qui impacterait un calendrier déjà bien rempli avant même cette crise.
Le procureur Samuel Finielz se veut rassurant
Il y a urgence
Impossible donc de rester de longs mois à la caserne Loubère, l’option mise sur la table par l’armée n’était qu’une solution temporaire. Selon nos informations le ministère de la Justice s’affaire donc pour trouver de nouveaux locaux pour la tenue des audiences pénales et civiles mais pas uniquement, une proposition a par exemple été faite pour les actes d’instruction dans des locaux au niveau du Centre pénitentiaire de Rémire, provoquant une levée de boucliers des avocats.
Éclatement des lieux de travail
Reste que le Palais de justice a pour bon nombre d’activités l’obligation de trouver une alternative dans le périmètre de Cayenne, une gageure qui mobilise jusqu’au plus haut niveau du ministère de la Justice. L’un des risques de cet éclatement des lieux de travail au sein de la juridiction, c’est de voir se multiplier les renvois d’audience à cause de l’absence des parties, ce qui impacterait un calendrier déjà bien rempli avant même cette crise.Le procureur Samuel Finielz se veut rassurant
Samuel Finielz procureur de la République