Les transporteurs avaient à nouveau rendez-vous avec les services de l’Etat hier après-midi, pour tenter d’entamer les négociations sur les prix pratiqués par le centre de contrôle technique pour poids-lourds. A peine dix minutes de discussion et la réunion a avorté.
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Les transporteurs se sont bien rendus à la préfecture ce 16 août pour continuer les négociations sur la fixation des tarifs des contrôles techniques pratiqués par la société Autovision qui les étranglent financièrement.
Après plus de 10 jours de mobilisation ce conflit ne semble pas avancer. Les transporteurs ont levé la séance dès le premier point qui portait sur les prix. Une décision que le secrétaire général des affaires régionales de la Préfecture, Philippe Loos, ne comprend pas. Une baisse de 25% a été obtenue la semaine dernière, une avancée non négligeable, selon lui, l'Etat ne pouvant intervenir sur un secteur privé, joue un rôle de médiateur dans cette affaire.
Les transporteurs n’ont pas souhaité s’exprimer à la sortie de la préfecture. Ils veulent d’abord consulter leurs bases. Il n’y avait, cependant, aucun poids-lourds aux abords de la Préfecture, contrairement à la dernière mobilisation.
La réaction de Philippe Loos
Après plus de 10 jours de mobilisation ce conflit ne semble pas avancer. Les transporteurs ont levé la séance dès le premier point qui portait sur les prix. Une décision que le secrétaire général des affaires régionales de la Préfecture, Philippe Loos, ne comprend pas. Une baisse de 25% a été obtenue la semaine dernière, une avancée non négligeable, selon lui, l'Etat ne pouvant intervenir sur un secteur privé, joue un rôle de médiateur dans cette affaire.
Les transporteurs n’ont pas souhaité s’exprimer à la sortie de la préfecture. Ils veulent d’abord consulter leurs bases. Il n’y avait, cependant, aucun poids-lourds aux abords de la Préfecture, contrairement à la dernière mobilisation.
La réaction de Philippe Loos