ASE entre ombres et lumières
L’ASE (l’Aide sociale à l’enfance) en Guyane fait régulièrement parler d’elle depuis trente ans mais à chaque fois pour révéler ou mettre en avant des problèmes.
Début janvier dernier, retour dans l’actualité et comme souvent, provoqué par un syndicat. En 2018 c’était l’UTG CTG et cette année FO CTG met le pied dans le plat en demandant au préfet de solliciter une enquête de l’IGAS (inspection des affaires sociales) sur le fonctionnement de l’institution.
L’ASE est un outil central de la protection de l’enfance à l’intérieur du Pôle prévention solidarité santé (PPSS) qui recouvre plusieurs services. L’aide sociale à l’enfance est donc un de ses services à la Direction de l’enfance et de la famille (DAF)…
Notre enquête s’est concentrée uniquement sur cette entité qui a une tâche aussi noble que complexe. Elle doit préserver et permettre l’épanouissement de jeunes de 0 à 18 ans et de 18 à 21 ans : des enfants et jeunes en danger ou en risques de danger. Ils sont confiés à l’ASE par l’autorité judiciaire parce que, en grand danger, signalés par une assistante sociale ou la famille elle-même.
Dans le document qui vous est proposé, de nombreux acteurs nous aident à comprendre pourquoi ça ne marche pas et comment accueillir durablement et dans des conditions correctes, des enfants en difficulté.
Une enquête de Bertrand Villeneuve
À réécouter
L’ASE (l’Aide sociale à l’enfance) en Guyane fait régulièrement parler d’elle depuis trente ans mais à chaque fois pour révéler ou mettre en avant des problèmes.
Dans le document qui vous est proposé, de nombreux acteurs nous aide à comprendre pourquoi ça ne marche pas et comment accueillir durablement et dans des conditions correctes, des enfants en difficulté. Une enquête de Bertrand Villeneuve