Le Préfet était en visite à Saint-Laurent du Maroni le 26 janvier pour signer le Programme national de renouvellement urbain (PNRU). Le Maire Léon Bertrand.lui a fait rencontrer des habitants de Djakarta, un des nombreux quartiers spontanés et insalubres de la Capitale de l’Ouest.
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« J’ai invité Monsieur le Préfet à se rendre sur le terrain pour constater les nombreuses difficultés que nous élus, nous rencontrons au quotidien pour trouver des solutions de relogement ou d’expulsion pour ces personnes qui s’installent sur nos territoires ». Léon Bertrand ne veut plus que ces dossiers restent au stade de la discussion « il faut passer à l’acte » estime le premier magistrat de Saint-Laurent-du-Maroni.
Pour Léon Bertrand, le représentant de l’Etat en Guyane doit être mis sur le fait accompli pour répondre « aux besoins de cette jeunesse souvent désœuvrée et à toutes ces personnes mal logées.
Nous avons voulu également qu’il emprunte cette route désastreuse qui est fréquentée par des dizaines de véhicules pour comprendre le malheur de ces habitants ».
Le Préfet a bien reçu semble-t-il le message : « J’ai bien compris le message du Maire Léon Bertrand, mais tout ne se fera pas en un seul jour ». Martin Jaeger réclame par ailleurs « un effort de part et d’autre car tout le monde ne peut avoir tout ce qu’il veut quand il veut » une façon claire et nette de dire que ces populations se sont installées sans autorisation sur ces terres, donc qu’elles ne peuvent pas dûment réclamer des droits au logement.
Quant à la route en terre, elle ne fait l’objet d’aucune autorisation ce qui signifie que sa réfection n’est pas à l’ordre du jour.
Pour Léon Bertrand, le représentant de l’Etat en Guyane doit être mis sur le fait accompli pour répondre « aux besoins de cette jeunesse souvent désœuvrée et à toutes ces personnes mal logées.
Nous avons voulu également qu’il emprunte cette route désastreuse qui est fréquentée par des dizaines de véhicules pour comprendre le malheur de ces habitants ».
Le Préfet a bien reçu semble-t-il le message : « J’ai bien compris le message du Maire Léon Bertrand, mais tout ne se fera pas en un seul jour ». Martin Jaeger réclame par ailleurs « un effort de part et d’autre car tout le monde ne peut avoir tout ce qu’il veut quand il veut » une façon claire et nette de dire que ces populations se sont installées sans autorisation sur ces terres, donc qu’elles ne peuvent pas dûment réclamer des droits au logement.
Quant à la route en terre, elle ne fait l’objet d’aucune autorisation ce qui signifie que sa réfection n’est pas à l’ordre du jour.