L'ambiance au village olympique, les retours de matches tardifs et les remerciements pour la Guyane et la Martinique... La handballeuse Béatrice Edwige et la nageuse Coralie Balmy, nous racontent leurs Jeux olympiques 2016.
#"Je me revois il y a huit ans"
Des Jeux vus par des athlètes ça donne quoi? La handballeuse guyanaise Béatrice Edwige et la nageuse martiniquaise Coralie Balmy ont accepté de se prêter au jeu du Facebook live pour la1ere et de nous raconter leurs impressions olympiques.Coralie Balmy, elle a terminé ses Jeux, ses troisièmes après Pékin et Londres. Sans médaille cette fois, mais avec la manière, saluée par ses coéquipières après sa dernière course.
“J’étais très émue. Ce sont les jeunes qui ont pris l’initiative et fait en sorte qu’on se regroupe toute à la sortie du bassin. Ca m’a vraiment touchée”, poursuit-elle. Des nageuses plus jeunes qui apprécient le rôle de conseil de la nageuse expérimentée. “Les petites viennent me voir et me demandent des conseils. Ca me fait plaisir parce que je me revois il y a huit ans, c’était moi la plus jeune, et je demandais des conseils aux plus grandes”, se souvient la Martiniquaise de 29 ans.
#Béatrice Edwige “dans l’admiration”
La handballeuse, pour qui en revanche c’est une première elle reconnait porter un regard assez émerveillé sur l’événement. “Je suis dans l’admiration, parfois plus fan qu'athlète”, admet-elle. L’équipe féminine de hand a plutôt bien commencé la compétition, avec deux victoires contre les Pays-Bas et l’Argentine, et une défaite d’un point face à la Russie. Comment fête t-on ces victoires quand on rentre au village olympique et qu’on doit rejouer deux jours après? “On n’a pas le temps d’exploser de joie, on sait très bien que dans les sports collectifs le plus important c’est le quart de finale”.“Quand on rentre de match tard le soir, on est encore dans l’excitation, assez tendues. Puis on enchaîne par des soins, le lendemain on débriefe le match… les retours sont plutôt calmes”, assure-t-elle.
Les deux athlètes ont également salué leurs départements d’origine, remerciant la Martinique et la Guyane pour les nombreux messages de soutien qu’elles ont reçu. “J’ai l’impression d’être énormément soutenue depuis la Guyane, rappelle Béatrice Edwige qui espère bien avec l’équipe, ramener un petit truc rond autour du cou”.
Regardez l’intégralité du Facebook Live avec Béatrice Edwige et Coralie Balmy
#"On la prend"
Un nouvel Ultramarin a été médaillé aujourd’hui. Le pistard Grégory Baugé a remporté le bronze dans l’épreuve de vitesse par équipe. Et si, comme ses co-équipiers il a regretté n’obtenir qu’une troisième place, il se dit quand même fier. “Même si on espérait mieux, on la prend”.
#Retour aux classiques
Rien de tel qu'une bonne vieille chenille pour ambiancer une arène olympique. C'est en tout cas le point de vue des spectateurs français du match de handball masculin France-Argentine, qui ont profité de la mi-temps pour se lancer dans une queue leu leu dans les gradins. Et ca a plu, puisque les supporters brésiliens sont rapidement venus grossir leurs rangs... Ca a porté chance aux Bleus qui se sont imposés 31-24.#handball #FRAARG A la mi temps les supporters Français ont lancé une chenille dans les tribunes. #Rio2016 pic.twitter.com/a3KfUnPR8h
— La1ere.fr (@la1ere) 12 août 2016
#Entres potes
"Teddy c'est un de mes meilleurs potes". Quand Gaël Monfils se qualifie pour les quarts de finale aux Jeux olympiques, les journalistes le questionnent sur... Teddy Riner qui entre en compétition ce vendredi. Et le tennisman ne tarit pas de compliments sur le judoka.
#Sé dam bonjou
Dans combien de langues savez-vous dire bonjour? Eliani, qui travaille sur le site du centre de média international à Rio, en connait un paquet et elle ne se prive pas de faire une démonstration. À #Rio2016 pour travailler au centre media international, il est bon de parler plusieurs langues pic.twitter.com/Rmj1Dl7DOr
— La1ere.fr (@la1ere) 12 août 2016
#Haute surveillance
A Rio les sites olympiques sont regroupés en plusieurs zones. La zone Barra, la plus importante, située à proximité du centre international des médias accueille la gymnastique, le cyclisme sur piste, le handball, le tenis, l’escrime, le basket masculin… C’est la plus importante.On a également une zone à Copacabana, pour la voile, le beach volley, l’aviron et le cyclisme sur route.
Et enfin, toujours sur Rio, on trouve la zone Deodoro, pour le BMX, le rugby, le basket féminin ou encore l’équitation. Mais ce site est également une base militaire, la plus importante du brésil. Ce qui fait que le public peut avoir d’étonnantes surprises en se rapprochant des arènes olympiques…
#VuARio A l'entrée du site olympique de Deodoro, qui abrite la plus grande base militaire du #Bresil #Rio2016 pic.twitter.com/8Hnh3BdBAB
— La1ere.fr (@la1ere) 11 août 2016