L'homme blessé, dimanche dernier lors d'un accident de chasse au Prêcheur, assure qu'il est bien chasseur en règle et revient sur l'incident qui aurait pu être plus grave, selon lui.
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L'homme tient à conserver l'anonymat mais réagit fermement suite à la diffusion d'un communiqué de la fédération des chasseurs de Martinique. "Contrairement à ce que le secrétaire de la fédération de chasse divulgue, j'étais en action de chasse. Le collègue passant devant moi pour voir ou était le gibier, je me retrouve dans l'obligation de baisser le canon et c'est ainsi qu'un coup part sans aucune explication, défaillance du matériel ou accrochage d'une branche", précise-t-il.
L'homme s'est donc blessé à la jambe avec sa propre arme et considère que cela aurait pu être plus grave. "En baissant mon canon j'ai évité le pire car cette histoire je l'aurais raconté au juge des libertés", poursuit celui qui était à la chasse aux "animaux domestiques", selon la fédération. "Cher secrétaire de la fédération de chasse, quand vous parlez d'animaux domestiques : un animal domestique qui se trouve à 4 kilomètres de toute civilisation n'est plus domestique en pleine montagne".
Le chasseur, toujours hospitalisé, confirme qu'il a validé son permis en versant à la fédération une somme de 134€, représentant la validation et l'assurance. "Je ne suis ni un braconnier ni un hors la loi ni un voleur", ajoute avec émotion le chasseur. "C'est l'orthographe du nom qui a provoqué cette erreur, il est bien chasseur", reconnaît la fédération qui persiste à dire que les "animaux domestiques", ne sont pas à chasser... Présentation de La FEDERATION DEPARTEMENTALE DES CHASSEURS DE LA MARTINIQUE http://fdc972.e-monsite.com/pages/presentation-de.html
L'homme s'est donc blessé à la jambe avec sa propre arme et considère que cela aurait pu être plus grave. "En baissant mon canon j'ai évité le pire car cette histoire je l'aurais raconté au juge des libertés", poursuit celui qui était à la chasse aux "animaux domestiques", selon la fédération. "Cher secrétaire de la fédération de chasse, quand vous parlez d'animaux domestiques : un animal domestique qui se trouve à 4 kilomètres de toute civilisation n'est plus domestique en pleine montagne".
Le chasseur, toujours hospitalisé, confirme qu'il a validé son permis en versant à la fédération une somme de 134€, représentant la validation et l'assurance. "Je ne suis ni un braconnier ni un hors la loi ni un voleur", ajoute avec émotion le chasseur. "C'est l'orthographe du nom qui a provoqué cette erreur, il est bien chasseur", reconnaît la fédération qui persiste à dire que les "animaux domestiques", ne sont pas à chasser...