Une quinzaine du mois de mai exceptionnellement sèche, ventée et brumeuse. Pour les agriculteurs la ressource en eau se fait rare et sur certaines exploitations il ne reste désormais quasiment rien à récolter.
Un temps très sec s'est installé sur la Martinique, depuis le 25 avril 2015. La fréquence des pluies et surtout les quantités, pour cette période de l’année sont exceptionnellement faibles.
Et un facteur aggravant pour l’évaporation, le vent souffle avec plus de vigueur que d’ordinaire. Une situation de temps sec et brumeux qui affecte l’ensemble des Petites Antilles et la tendance déficitaire en pluie, ne risque pas de s’inverser dans les prochains jours.
La sécheresse et ses conséquences pour les agriculteurs. Exemple avec ce maraicher au Précheur. Il possède une exploitation de six hectares sur laquelle il cultive tomates, concombre, laitue et giromon.
Le reportage de Sangha Fagour et Marc Balssa sur l'exploitation de Roger Nadeau
Et un facteur aggravant pour l’évaporation, le vent souffle avec plus de vigueur que d’ordinaire. Une situation de temps sec et brumeux qui affecte l’ensemble des Petites Antilles et la tendance déficitaire en pluie, ne risque pas de s’inverser dans les prochains jours.
La sécheresse et ses conséquences pour les agriculteurs. Exemple avec ce maraicher au Précheur. Il possède une exploitation de six hectares sur laquelle il cultive tomates, concombre, laitue et giromon.
Le reportage de Sangha Fagour et Marc Balssa sur l'exploitation de Roger Nadeau