Il s'appelle Patrick Boulai. Le gérant de Bizness Communication, distributeur d'alcools situé en France, s'est vu confier une partie du marché des boissons de la Coupe Davis en Guadeloupe. Il servira les spectateurs en eau et en champagne durant les trois jours de compétition (4-6 mars 2016).
Un appel de la Fédération Française de Tennis, il y a quelques semaines, et le dossier était bouclé ! Patrick Boulai, gérant de Bizness Communication, grossiste en alcools basé à la Baule (Loire-Atlantique), n'a pas eu à batailler pour décrocher le marché eau et champagne de la Coupe Davis ! Il n'était pourtant pas seul.
Un autre importateur antillais et une célèbre marque de champagne, s'étaient aussi positionnés. Mais le champagne de Patrick Boulai, que lui fournit un viticulteur de Reims, a mis tout le monde d'accord. Produit de grande qualité "que les plus grands lui envieraient", dit-il, et dont la bouteille de 75 centilitres serait estimée à 80 euros, selon certains spécialistes.
Ce quadragénaire, originaire de Basse-Pointe, réalise, en tout cas, un autre joli coup. Lui qui a notamment, été l'un des prestataires des 24 heures du Mans et d'un festival de musique, dans la même ville, en 2015. On peut même parler d'ascension fulgurante pour cet "autodidacte" - comme il se définit lui-même - qui a créé son entreprise, il y a seulement trois ans et demi. Aujourd'hui, il est à la tête d'une société d'une demi-douzaine de salariés, et qui compte des clients en Allemagne et en Chine.
Un champagne haut de gamme
Un autre importateur antillais et une célèbre marque de champagne, s'étaient aussi positionnés. Mais le champagne de Patrick Boulai, que lui fournit un viticulteur de Reims, a mis tout le monde d'accord. Produit de grande qualité "que les plus grands lui envieraient", dit-il, et dont la bouteille de 75 centilitres serait estimée à 80 euros, selon certains spécialistes.Ce quadragénaire, originaire de Basse-Pointe, réalise, en tout cas, un autre joli coup. Lui qui a notamment, été l'un des prestataires des 24 heures du Mans et d'un festival de musique, dans la même ville, en 2015. On peut même parler d'ascension fulgurante pour cet "autodidacte" - comme il se définit lui-même - qui a créé son entreprise, il y a seulement trois ans et demi. Aujourd'hui, il est à la tête d'une société d'une demi-douzaine de salariés, et qui compte des clients en Allemagne et en Chine.