Pendant la période de carnaval les jeunes "se lâchent" et peuvent avoir des attitudes violentes. D'où l'importance des agents de médiation. Des grands frères qui parviennent parfois à calmer les débordements des plus jeunes.
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Nous suivons une équipe de médiateurs, dans un endroit modeste, situé au détour d'une petite ruelle en plein coeur du quartier l'Hermitage à Fort-de-France. Les jeunes du coin l'appellent, "An ba ti kail la" et certains d'entre eux y passent beaucoup de leur temps.
Rodigue et ses agents de médiation y viennent souvent pour prendre le pouls du quartier. "Heureusement qu'ils sont là pour nous encadrer", confie Simsima, le président de l'association Manmay lermitaj. Ces agents de médiation, appelés aussi les grands frères, sont issus des quartiers populaires : Coridon, Chateauboeuf, Mongérald, Godissard, Volga Plage.
(Re)voir le reportage de Sangha Fagour et François Marlin.
Rodigue et ses agents de médiation y viennent souvent pour prendre le pouls du quartier. "Heureusement qu'ils sont là pour nous encadrer", confie Simsima, le président de l'association Manmay lermitaj. Ces agents de médiation, appelés aussi les grands frères, sont issus des quartiers populaires : Coridon, Chateauboeuf, Mongérald, Godissard, Volga Plage.
(Re)voir le reportage de Sangha Fagour et François Marlin.
La ville de Fort-de-France compte sur le travail des "grands frères" pour juguler la violence des jeunes
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