Un groupe de réflexion des Patriotes MIM, invite la presse mercredi prochain. Des militants "historiques" ont décidé de passer à la vitesse supérieure et de secouer leur président, Alfred Marie-Jeanne.
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Ce groupe de réflexion est constitué des militants "historiques" qui en juin 2017, avaint dénoncé le soutien d’Alfred Marie-Jeanne à Fabrice Dunon lors des législatives en 2017. C'est aussi ce groupe qui avait en novembre 2017, posé des "questions dérangeantes" sur certaines prises de position et critiquait déjà, ce qu’il qualifiait de dérives autocratiques d'Alfred Marie-Jeanne, le président du MIM.
Ce groupe, avec entre autres, Sylvain Bolinois, Marianne Malsa, Mathurin Lavril, des présidents de Komité Patryot, a exprimé sa stupéfaction lorsque le 29 janvier dernier, il a assisté à la scène où Alfred Marie-Jeanne a refusé à Jean-Philippe Nilor, le droit de s’exprimer lors d’un Comité National, à Place d’Armes au Lamentin. Pour eux, "c'est la goutte d‘eau qui a fait déborder le vase".
Mercredi prochain, "ces frondeurs" diront que "le MIM doit revenir à ses fondamentaux, dans son fonctionnement". Ils rappelleront que le Mouvement Indépendantiste Martiniquais n’appartient pas à une seule personne, même si on s’appelle Alfred Marie-Jeanne. Ils s’exprimeront "ouvertement, à l’extérieur du parti", car disent-ils, ils n’ont reçu aucune réponse de l’intérieur. Par exemple, pas de réponse aux courriers réclamant la tenue d’une assemblée générale pour moderniser le parti...
La simple annonce de la tenue de cette conférence de presse agite déjà le MIM et ses alliés. Ce groupe de réflexion précise encore qu’il ne compte aucun militant siégeant à la CTM, "pour ne pas créer de nouvelles frictions, avec le président du MIM".
Ce groupe, avec entre autres, Sylvain Bolinois, Marianne Malsa, Mathurin Lavril, des présidents de Komité Patryot, a exprimé sa stupéfaction lorsque le 29 janvier dernier, il a assisté à la scène où Alfred Marie-Jeanne a refusé à Jean-Philippe Nilor, le droit de s’exprimer lors d’un Comité National, à Place d’Armes au Lamentin. Pour eux, "c'est la goutte d‘eau qui a fait déborder le vase".
Les "frondeurs" s’exprimeront "ouvertement, à l’extérieur du parti"
Mercredi prochain, "ces frondeurs" diront que "le MIM doit revenir à ses fondamentaux, dans son fonctionnement". Ils rappelleront que le Mouvement Indépendantiste Martiniquais n’appartient pas à une seule personne, même si on s’appelle Alfred Marie-Jeanne. Ils s’exprimeront "ouvertement, à l’extérieur du parti", car disent-ils, ils n’ont reçu aucune réponse de l’intérieur. Par exemple, pas de réponse aux courriers réclamant la tenue d’une assemblée générale pour moderniser le parti...
La simple annonce de la tenue de cette conférence de presse agite déjà le MIM et ses alliés. Ce groupe de réflexion précise encore qu’il ne compte aucun militant siégeant à la CTM, "pour ne pas créer de nouvelles frictions, avec le président du MIM".