William Zébina, journaliste reporter d'images de Martinique la 1ère a été agressé pendant l'exercice de son travail, le mercredi 5 juin à Fort-de-France par un fonctionnaire de police en uniforme. Il filmait, depuis la voie publique, une arrestation.
Le journaliste William Zébina a été agressé le mercredi 5 juin 2019 par un policier à Fort-de-France, alors qu'il filmait une interpellation en pleine rue. Un policier s'en est pris au journaliste en repoussant à plusieurs reprises sa caméra.
La direction et les rédactions de Martinique la 1ère condamnent fermement cette violence à l'égard des journalistes.
Dans un communiqué, le syndicat CSA-CGT Martinique condamne fermement cette agression, et apporte son soutien au journaliste. Le syndicat précise que ce nouvel incident intervient pratiquement 1 an jour pour jour après une agression du même type, d’un groupe de policiers prêts à en découdre avec un autre journaliste reporteur d’images de la même rédaction.
Le syndicat CSA-CGT Martinique précise dans son communiqué que "la liberté de la presse est un droit constitutionnel, et que par ailleurs, une circulaire de la Direction générale de la police nationale (DGPN) de 2008, rappelle que les policiers, qu’ils soient en uniforme ou en civil, n’ont pas le droit d’interdire qu’on les filme, ne peuvent pas interpeller des journalistes ou des particuliers effectuant des enregistrements dans les lieux publics, ni leur retirer leurs appareils ou détruire les prises de vues effectuées".
Dans un communiqué, le syndicat CSA-CGT Martinique condamne fermement cette agression, et apporte son soutien au journaliste. Le syndicat précise que ce nouvel incident intervient pratiquement 1 an jour pour jour après une agression du même type, d’un groupe de policiers prêts à en découdre avec un autre journaliste reporteur d’images de la même rédaction.
Liberté de filmer
Le syndicat CSA-CGT Martinique précise dans son communiqué que "la liberté de la presse est un droit constitutionnel, et que par ailleurs, une circulaire de la Direction générale de la police nationale (DGPN) de 2008, rappelle que les policiers, qu’ils soient en uniforme ou en civil, n’ont pas le droit d’interdire qu’on les filme, ne peuvent pas interpeller des journalistes ou des particuliers effectuant des enregistrements dans les lieux publics, ni leur retirer leurs appareils ou détruire les prises de vues effectuées".