Un débrayage pour manifester son soutien au proviseur, Philippe Aurore. Les accès du lycée agricole de Croix Rivail de Ducos ont été bloqués jusqu’à 9H40 ce vendredi 16 septembre. Les membres de communauté scolaire sont contre la mutation forcée de Philippe Aurore à la DAAF Martinique.
Les manifestants ont levé les barrages érigés tôt ce vendredi matin (16 septembre), à 9h40. L’accès à l’établissement était possible mais il n’y a pas eu de cours. La communauté scolaire soutient Philippe Aurore, le proviseur du lycée de Croix Rivail. Ce dernier a reçu une deuxième notification de mutation. Cette fois il lui est proposé de rejoindre la DAAF (Direction de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt) de la Martinique.
Un débrayage pour manifester son soutien au proviseur, Philippe Aurore, dont l’avenir au sein du lycée s’inscrit en pointillés, malgré une décision favorable rendue par le tribunal administratif dans le litige qui l’oppose à la Direction de l’Agriculture, concernant une mutation à la DAAF de Guadeloupe.
Le 25 août dernier, le tribunal administratif de Fort-de-France avait suspendu un arrêté de nomination forcée de Phlippe Aurore sur la Guadeloupe.
Un nouveau courrier reçu récemment lui annonçait qu'il serait muté à la DAAF de Martinique prochainement. La mobilisation de ce vendredi 16 septembre réunissait enseignants, personnels du lycée de Croix Rivail, le syndicat SE-UNSA et quelques parents d’élèves.
Un débrayage pour manifester son soutien au proviseur, Philippe Aurore, dont l’avenir au sein du lycée s’inscrit en pointillés, malgré une décision favorable rendue par le tribunal administratif dans le litige qui l’oppose à la Direction de l’Agriculture, concernant une mutation à la DAAF de Guadeloupe.
Le 25 août dernier, le tribunal administratif de Fort-de-France avait suspendu un arrêté de nomination forcée de Phlippe Aurore sur la Guadeloupe.
Un nouveau courrier reçu récemment lui annonçait qu'il serait muté à la DAAF de Martinique prochainement. La mobilisation de ce vendredi 16 septembre réunissait enseignants, personnels du lycée de Croix Rivail, le syndicat SE-UNSA et quelques parents d’élèves.