Deux classes d’étudiants de BTS du lycée Lumina Sophie (Schoelcher) initiées au "Lasotè" à Fonds-Saint-Denis (vendredi 4 septembre 2020), en guise d'intégration. Les Jeunes ont découvert l’art de ce coup de main sur les mornes, comme il y a 150 ans
Pour cette rentrée, sept enseignants du lycée Lumina Sophie à Schoelcher, ont emmené des étudiants de BTS à la découverte de leur environnement, du patrimoine naturel et paysager.
Deux classes d’étudiants de BTS NDRC, (Négociation Digitalisation et Relation Client) de première et de deuxième année, se sont rendues au quartier Trou vent à Fonds-Saint-Denis.
Les objectifs de l’équipe pédagogique étaient de favoriser une meilleure intégration des nouveaux étudiants, la cohésion entre les deux classes, développer l’esprit d’entraide, le goût de l’effort et de partager et défendre le patrimoine culturel Martiniquais. Un bel exemple pour les élèves de constater la diversité des activités.
Les étudiants et l’équipe pédagogique ont appris les origines de Lasotè. Un coup de main né après l’abolition de l’esclavage chez les paysans du Nord Caraïbe, car l’utilisation de charrue ne pouvant se faire dans les zones les plus pentues.
À l'époque, il existait plusieurs types de coups demain : le "lasotè", le "terrage kai”, le "gragé manioc”, le “scieur de long” et le “dansé kako”.
Ensuite les étudiants s’y sont initiés avec les membres de l’équipe au son des tambours, tibwa et conques de lambi. Ces derniers, un peu sceptiques au départ s’y sont attelés avec enthousiasme par groupes de 10 et ont apprécié l’expérience.
Par de petits groupes, les étudiants ont été initiés au Lasotè
Une initiative appuyée par l’association Lasotè, qui assure la transmission par les anciens des modes culturaux et culturels des mornes du Nord Caraïbe.
Deux classes d’étudiants de BTS NDRC, (Négociation Digitalisation et Relation Client) de première et de deuxième année, se sont rendues au quartier Trou vent à Fonds-Saint-Denis.
Les objectifs de l’équipe pédagogique étaient de favoriser une meilleure intégration des nouveaux étudiants, la cohésion entre les deux classes, développer l’esprit d’entraide, le goût de l’effort et de partager et défendre le patrimoine culturel Martiniquais. Un bel exemple pour les élèves de constater la diversité des activités.
À l'époque, il existait plusieurs types de coups demain : le "lasotè", le "terrage kai”, le "gragé manioc”, le “scieur de long” et le “dansé kako”.
Ensuite les étudiants s’y sont initiés avec les membres de l’équipe au son des tambours, tibwa et conques de lambi. Ces derniers, un peu sceptiques au départ s’y sont attelés avec enthousiasme par groupes de 10 et ont apprécié l’expérience.