250 VHU (Véhicules Hors d'Usage) seront retirées des quartiers de Fort-de-France. L'opération a débuté vendredi 19 janvier. Entre pollution visuelle et gîtes à moustiques, ces véhicules contiennent des déchets considérés comme dangereux (carburant, huiles de vidange, liquides de freins…)
Les véhicules hors d'usages (VHU) incluent tout véhicule en fin de vie destinée à la destruction, et le plus souvent abandonnée par leurs propriétaires sur la voie publique, aux abords des habitations, ou sur des terrains vagues.
À Fort-de-France, on recense près de 600 véhicules abandonnés, en fin de vie ou accidenté. Le plus souvent ils ne sont pas dépollués et ils contiennent des déchets liquides et solides considérés comme dangereux (carburant, huiles de vidange, liquides de freins, de direction, batteries au plomb…). La première campagne de retrait est menée depuis ce vendredi 19 janvier. Elle concerne près de 250 VHU dans les différents quartiers de Fort-de-France. Une décision du maire pour lutter non seulement contre la pollution visuelle, mais aussi contre ces épaves qui sont des sites larvaires favorables à la recrudescence de maladie comme la dengue ou le chikungunya.
La ville de Fort-de-France est contrainte d'envisager une nouvelle filière pour le traitement de ces véhicules. Celle impliquant les constructeurs automobiles prévue par la loi tarde, à se mettre en place.
(Re)voir le reportage de Delphine Bez et Eddy Bellerose :
Effacer la pollution visuelle
À Fort-de-France, on recense près de 600 véhicules abandonnés, en fin de vie ou accidenté. Le plus souvent ils ne sont pas dépollués et ils contiennent des déchets liquides et solides considérés comme dangereux (carburant, huiles de vidange, liquides de freins, de direction, batteries au plomb…). La première campagne de retrait est menée depuis ce vendredi 19 janvier. Elle concerne près de 250 VHU dans les différents quartiers de Fort-de-France. Une décision du maire pour lutter non seulement contre la pollution visuelle, mais aussi contre ces épaves qui sont des sites larvaires favorables à la recrudescence de maladie comme la dengue ou le chikungunya.
La ville de Fort-de-France est contrainte d'envisager une nouvelle filière pour le traitement de ces véhicules. Celle impliquant les constructeurs automobiles prévue par la loi tarde, à se mettre en place.
(Re)voir le reportage de Delphine Bez et Eddy Bellerose :