L’expulsion des étrangers a mis au jour les relations difficiles entre les associations humanitaires et les mahorais, leurs élus en particulier.
Les principaux points de frictions entre les deux parties découlent des problèmes liés à l’immigration clandestine. Si la Croix Rouge jouit d’une bonne image auprès des mahorais, ce n’est pas le cas des organisations non gouvernementales qui se consacrent aux étrangers.
Les humanitaires dénoncent dans l’ensemble les entorses et les lois d’exception concernant le droit des étrangers sur ce morceau du territoire français.
Une démarche qui a du mal à être comprise par certains mahorais qui voient en elles, des associations qui protègent des « irréguliers » au détriment des nationaux.
Les paroles sont quelquefois à la limite de la correction et depuis que le mouvement des expulsions a été lancé, on assiste à une véritable escalade verbale.
Ceci est d’autant plus compliqué que une grande partie des bénévoles de ces organisations sont des agents de la fonction publique de l’Etat. Leurs engagements hors travail sont souvent confondus avec leurs missions en tant que fonctionnaire.
C’est ainsi que certains élus parlent de connivences et de confusions entretenues par les autorités.
L’autre point de divergence est la cause de l’arrivée massives de ces familles à Mayotte.
Pour les uns, il s’agit de personnes qui fuient la misère, qui cherchent à se soigner et trouver un meilleur avenir pour leurs enfants…ce qui est normal.
Pour beaucoup de mahorais, les comoriens doivent rester chez eux subir les conséquences de leurs choix politiques.
Deux interprétations très différentes dela situation actuelle.
Les humanitaires dénoncent dans l’ensemble les entorses et les lois d’exception concernant le droit des étrangers sur ce morceau du territoire français.
Une démarche qui a du mal à être comprise par certains mahorais qui voient en elles, des associations qui protègent des « irréguliers » au détriment des nationaux.
Les paroles sont quelquefois à la limite de la correction et depuis que le mouvement des expulsions a été lancé, on assiste à une véritable escalade verbale.
Ceci est d’autant plus compliqué que une grande partie des bénévoles de ces organisations sont des agents de la fonction publique de l’Etat. Leurs engagements hors travail sont souvent confondus avec leurs missions en tant que fonctionnaire.
C’est ainsi que certains élus parlent de connivences et de confusions entretenues par les autorités.
L’autre point de divergence est la cause de l’arrivée massives de ces familles à Mayotte.
Pour les uns, il s’agit de personnes qui fuient la misère, qui cherchent à se soigner et trouver un meilleur avenir pour leurs enfants…ce qui est normal.
Pour beaucoup de mahorais, les comoriens doivent rester chez eux subir les conséquences de leurs choix politiques.
Deux interprétations très différentes dela situation actuelle.