Une nouvelle mission scientifique, MAYOBS 3 est partie pour une campagne d’observation dans la zone volcanique au large de Mayotte. Le géographe, Saïd Saïd Hachim en fait partie, une grande première.
Depuis le début des essaims sismiques à Mayotte 2 missions scientifiques ont été dépêchées pour étudier le phénomène. Il s’agit exclusivement d’institutions nationales qui ont été mobilisées dans des délais relativement rapides, Institut de recherche intégré en sciences marines (IFREMER), Le Centre national de la recherche scientifique (CNRS), l'institut de physique du globe de Paris (IPGP), ou encore le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM).
Mais la composition de ces équipes de scientifiques dans les missions est emmenée à évoluer. Ce qui se passe à Mayotte intéresse la communauté internationale. Jusqu’alors la France a gardé une sorte de primeur même si les conclusions seront mises à la disposition de toute la communauté scientifique internationale.
En ce qui concerne la présence la présence de Saïd Saïd Hachim : « s’il y a des personnes qui veulent contribuer, bien évidement, leurs contributions sont les bienvenues ». Le géographe mahorais a été un des premiers à avancer l’hypothèse d’un volcan pour expliquer la crise sismique qui secoue l’île. Il est aussi co-auteur de l'Atlas des Risques de Mayotte et jouit d’un important capital confiance et sympathie auprès de la population.
Dominique Sorain avait insisté sur les moyens mobilisés pour monter ce genre de mission. Il s’agit par exemple d’affréter le Marion Dufresne pour plusieurs semaines, voire plusieurs mois.
Cette nouvelle mission se déroulera sur deux jours et consistera à récupérer les 8 sismomètres déposés au fond de la mer afin de préciser l’évolution de la position et la profondeur des séismes.
« On n’est pas ici dans les pas scientifiques habituels. Il s’agissait de savoir quelles peuvent être les répercussions du phénomène en cours sur le territoire de Mayotte.»
Mais la composition de ces équipes de scientifiques dans les missions est emmenée à évoluer. Ce qui se passe à Mayotte intéresse la communauté internationale. Jusqu’alors la France a gardé une sorte de primeur même si les conclusions seront mises à la disposition de toute la communauté scientifique internationale.
En ce qui concerne la présence la présence de Saïd Saïd Hachim : « s’il y a des personnes qui veulent contribuer, bien évidement, leurs contributions sont les bienvenues ». Le géographe mahorais a été un des premiers à avancer l’hypothèse d’un volcan pour expliquer la crise sismique qui secoue l’île. Il est aussi co-auteur de l'Atlas des Risques de Mayotte et jouit d’un important capital confiance et sympathie auprès de la population.
Dominique Sorain avait insisté sur les moyens mobilisés pour monter ce genre de mission. Il s’agit par exemple d’affréter le Marion Dufresne pour plusieurs semaines, voire plusieurs mois.
Cette nouvelle mission se déroulera sur deux jours et consistera à récupérer les 8 sismomètres déposés au fond de la mer afin de préciser l’évolution de la position et la profondeur des séismes.