Les lieux et les occasions de rencontres de plusieurs personnes peuvent contribuer à la propagation du virus du Covid 19. Dès la mise en place des gestes barrières, les commerces ont été visés, mais ils ne sont pas tous au même niveau de vigilence.
Il suffit de faire le tour des magasins des rues commerciales à Mamoudzou et dans les centres commerciaux pour le constater. L’importance de l’enseigne n’est pas un gage de sérieux.
Or, dès le début de la mise en place des gestes barrières et de son emblématique distanciation sociale, les commerces ont été les premiers « lieux de rassemblement » visés, à Mayotte comme partout dans le monde.
Mais, les mesures de protection dans le cadre de la lutte contre la propagation du Covid 19 varient selon les magasins.
Les caissières sont dans l’ensemble protégées derrière des vitres en plexiglass, parfois un rideau bricolé de film plastique suffit.
Toutes ne portent pas de masques aux normes. Côté clients, une bonne partie ne porte ni de masques ni de gants.
Il y a cependant des magasins qui ont mis en place des protocoles plus élaborés. Un grand distributeur de matériel de bricolage refuse l’entrée aux clients qui ne portent pas de masques et l’agent de sécurité vous fait laver les mains avec du gel hydro-alcoolique.
Ils ne sont pas nombreux les commerces de la place à être aussi exigeants.
Enfin certaines personnes refusent de porter de masques de peur d’être stigmatisées : celui qui se protège aurait forcément quelque chose à cacher.
Les gestes barrières et la distanciation physique restent recommandés à Mayotte, territoire français où la situation est jugée préoccupante. Le taux de contamination va croissant à l’inverse du reste du pays.
Le département ne compte pas beaucoup de lieux réunissant du public : Un seul parc, une seule salle de cinéma, un unique grand réseau de transport ; la barge et les taxis.
Les mosquées sont dans leur grande majorité fermées, les manifestations culturelles et sportives suspendues ou reportées, à l’instar des grands mariages.
Tout porte à croire qu’une plus grande participation de tous à l’effort de la guerre contre le covid 19 pourrait aboutir à un résultat moins catastrophique.
Mais c’est loin d’être le cas.
Or, dès le début de la mise en place des gestes barrières et de son emblématique distanciation sociale, les commerces ont été les premiers « lieux de rassemblement » visés, à Mayotte comme partout dans le monde.
Mais, les mesures de protection dans le cadre de la lutte contre la propagation du Covid 19 varient selon les magasins.
Les caissières sont dans l’ensemble protégées derrière des vitres en plexiglass, parfois un rideau bricolé de film plastique suffit.
Toutes ne portent pas de masques aux normes. Côté clients, une bonne partie ne porte ni de masques ni de gants.
Il y a cependant des magasins qui ont mis en place des protocoles plus élaborés. Un grand distributeur de matériel de bricolage refuse l’entrée aux clients qui ne portent pas de masques et l’agent de sécurité vous fait laver les mains avec du gel hydro-alcoolique.
Ils ne sont pas nombreux les commerces de la place à être aussi exigeants.
Enfin certaines personnes refusent de porter de masques de peur d’être stigmatisées : celui qui se protège aurait forcément quelque chose à cacher.
Les gestes barrières et la distanciation physique restent recommandés à Mayotte, territoire français où la situation est jugée préoccupante. Le taux de contamination va croissant à l’inverse du reste du pays.
Le département ne compte pas beaucoup de lieux réunissant du public : Un seul parc, une seule salle de cinéma, un unique grand réseau de transport ; la barge et les taxis.
Les mosquées sont dans leur grande majorité fermées, les manifestations culturelles et sportives suspendues ou reportées, à l’instar des grands mariages.
Tout porte à croire qu’une plus grande participation de tous à l’effort de la guerre contre le covid 19 pourrait aboutir à un résultat moins catastrophique.
Mais c’est loin d’être le cas.