Face à l’illettrisme, la Croix Rouge propose des cours de français, donnés par quelques 70 bénévoles, à près de 230 apprenants issus de 44 nationalités différentes mais aussi à une vingtaine de Calédoniens.
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C’est une véritable mission de service public qu’offre la Croix Rouge française. Les premiers à en bénéficier sont les étrangers installés sur le territoire, et qui souhaitent s’insérer dans la société calédonienne. L’organisme humanitaire leur permet de maîtriser tant l’écrit que l’oral.
L’illettrisme est considéré comme un handicap, que ce soit un manque de vocabulaire pour s’exprimer, ou une mauvaise lecture. La Croix Rouge permet donc aussi à des Français de se perfectionner dans les domaines qui leur font défaut dans la vie courante, par exemple le code de la route ou encore les devoirs des enfants. Pour ce faire il existe des cours individuels ou collectifs ainsi que le "Cagoubus", un projet mis en place pour aller au devant des habitants des quartiers afin de les soutenir dans leurs démarches d’apprentissage du français.
La lutte contre l’illettrisme est une cause nationale depuis presque trois ans et, de ce fait, les enseignants sont aussi sensibilisés à ce problème de société.
Ci-dessous le reportage d’Isabelle Braouet et de Claude Brétégnier suivi de l’interview de François Quet, maître de conférence :
L’illettrisme est considéré comme un handicap, que ce soit un manque de vocabulaire pour s’exprimer, ou une mauvaise lecture. La Croix Rouge permet donc aussi à des Français de se perfectionner dans les domaines qui leur font défaut dans la vie courante, par exemple le code de la route ou encore les devoirs des enfants. Pour ce faire il existe des cours individuels ou collectifs ainsi que le "Cagoubus", un projet mis en place pour aller au devant des habitants des quartiers afin de les soutenir dans leurs démarches d’apprentissage du français.
La lutte contre l’illettrisme est une cause nationale depuis presque trois ans et, de ce fait, les enseignants sont aussi sensibilisés à ce problème de société.
Ci-dessous le reportage d’Isabelle Braouet et de Claude Brétégnier suivi de l’interview de François Quet, maître de conférence :