Les secours poursuivent leurs efforts pour venir en aide à la population. Les habitants aussi se mobilisent comme ils peuvent pour accéder aux zones touchées.
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L’aide internationale continue d’arriver d’un peu partout, Australie, Nouvelle-Zélande, et française via la Nouvelle-Calédonie.
Le Casa des FANC continue ses rotations sur les iles les plus touchées pour apporter du matériel de première nécessité pour pouvoir construire des abris temporaires : tentes, bâches et outils.
Le montant des dégâts causés par le cyclone à Fidji est estimé à 50 milliards de francs CFP. Le gouvernement indique qu’il faudra des mois, voire des années pour effacer les séquelles de Winston.
L’industrie du tourisme est paradoxalement peu touchée. Quelques hôtels ont du fermer leurs portes, mais la plupart ont tenu le choc et les touristes sont les bienvenus assurent les autorités. Les zones les plus touristiques n’ont pas été touchées par le cyclone.
L’agriculture en revanche est plus durement touchée.
Les cultures vivrières sont en partie détruites et surtout la culture de la canne à sucre aura du mal à s’en remettre. Il faudra un an pour replanter et espérer récolter à nouveau la canne, un des gros secteurs de l’agriculture fidjienne.
A Suva et Nadi, peu touchées, l’électricité revient progressivement.
Des bus gratuits ont été mis en place pour 3 jours entre la capitale et les zones touchées. Il s’agit de permettre aux habitants de rejoindre leurs familles éprouvées par le passage du cyclone et leur apporter denrées alimentaires et matériaux de reconstruction.
Le Casa des FANC continue ses rotations sur les iles les plus touchées pour apporter du matériel de première nécessité pour pouvoir construire des abris temporaires : tentes, bâches et outils.
Le montant des dégâts causés par le cyclone à Fidji est estimé à 50 milliards de francs CFP. Le gouvernement indique qu’il faudra des mois, voire des années pour effacer les séquelles de Winston.
L’industrie du tourisme est paradoxalement peu touchée. Quelques hôtels ont du fermer leurs portes, mais la plupart ont tenu le choc et les touristes sont les bienvenus assurent les autorités. Les zones les plus touristiques n’ont pas été touchées par le cyclone.
L’agriculture en revanche est plus durement touchée.
Les cultures vivrières sont en partie détruites et surtout la culture de la canne à sucre aura du mal à s’en remettre. Il faudra un an pour replanter et espérer récolter à nouveau la canne, un des gros secteurs de l’agriculture fidjienne.
A Suva et Nadi, peu touchées, l’électricité revient progressivement.
Des bus gratuits ont été mis en place pour 3 jours entre la capitale et les zones touchées. Il s’agit de permettre aux habitants de rejoindre leurs familles éprouvées par le passage du cyclone et leur apporter denrées alimentaires et matériaux de reconstruction.