Le débat fait rage depuis que l'un des deux producteurs locaux d'aliments pour animaux de compagnie a déposé une demande de protection de marché. Pour certains, il faut protéger l’industrie locale, d’autres ont lancé une pétition pour conserver un marché libre.
•
Pour le producteur à l’origine de la demande, il faut limiter les importations et permettre le développement d'une industrie locale.
Selon des calculs, si la protection de marché est accordée, la production des croquettes locales passerait à 2 500 tonnes contre 1000 actuellement.
Les importateurs, les distributeurs et une partie des consommateurs au contraire s'y opposent. Ils craignent des pénuries, un manque de choix voire des hausses de prix.
9000 personnes auraient déjà signé la pétition « Touchez pas mes croquettes ».
Le gouvernement devrait trancher sur ce sujet courant 2017.
Au delà de cette polémique, la guerre des croquettes interroge sur les protections de marché.
Elles sont souvent perçues de façon négative, pourtant elles permettent la création et le maintien d'un tissu industriel local qui sans ces protections serait bien vulnérable, vue l'étroitesse de notre marché.
Selon des calculs, si la protection de marché est accordée, la production des croquettes locales passerait à 2 500 tonnes contre 1000 actuellement.
Les importateurs, les distributeurs et une partie des consommateurs au contraire s'y opposent. Ils craignent des pénuries, un manque de choix voire des hausses de prix.
9000 personnes auraient déjà signé la pétition « Touchez pas mes croquettes ».
Le gouvernement devrait trancher sur ce sujet courant 2017.
Le reportage de Caroline Antic-Martin et Gaël Detcheverry
Elles sont souvent perçues de façon négative, pourtant elles permettent la création et le maintien d'un tissu industriel local qui sans ces protections serait bien vulnérable, vue l'étroitesse de notre marché.
Caroline Antic Martin et Gaël Detcheverry ont enquêté.