Qualité des eaux : la baignade est déconseillée sur les plages de Nouméa

Suite à la suspiscion de la présence d'algues toxiques, la baignade est déconseillée sur Nouméa
Lors de sa surveillance habituelle sur les plages, ce jeudi 23 janvier, la direction des risques sanitaires de la ville de Nouméa a suspecté la présence d'une algue toxique. Suivant le dispositif mis en place par la mairie, les pompiers ont sécurisé les six plages. Vers midi, le drapeau orange a été hissé : signe que la baignade est déconseillée.

Cette fois-ci pas de risque requin, mais plutôt une qualité des eaux de baignade en mer peu sûre. C'est un phénomène qui arrive parfois en été. Des algues toxiques sont ramenées sur le trait de côte par les coups d’Ouest.

Pour garantir la sécurité de chacun, la mairie de Nouméa établie une surveillance des plages, une à deux fois par semaine. L'opération permet de détecter avec certitude d'éventuelles pollutions. C'est ce qui s'est passé ce jeudi 23 janvier.

L'étude semble révéler la présence d'une algue toxique. Pour l'instant, il ne s'agit que d'une suspicion. En attendant, la baignade reste déconseillée sur les six plages de Nouméa c'est-à-dire :

  • Plage de la baie des Citrons
  • Plage de la promade Pierre-Vernier
  • Plage de l'Anse-Vata
  • Plage de Magenta
  • Plage du Kuendu Beach
  • Plage de la pointe Magnin

Si l'analyse se confirme, on passera à un arrêté d'interdiction totale de baignade sur l'ensemble des plages

Commandant Geraldine Bourgoin, directrice des services d’incendie et de secours de Nouméa

La mairie de Nouméa publiera un communiqué sur l'algue toxique suspecté. En attendant, elle en appelle à la vigilance de chacun aux abords des plages. En fonction de l'organisme présent, les risques sanitaires sont différents.

Le commandant Géraldine Bourgoin, directrice des services d'incendie et de secours de Nouméa était interrogée par Laura Schintu et Helena Kamberou : 

Commandant Géraldine Bourgoin, directrice des services d’incendie et de secours à Nouméa, interrogée par Laura Schintu et Helena Kamberou ©NC la1ère