La Direction des affaires maritimes propose de suivre sur internet "georep.nc", les voies de migration de quatre baleines à bosse dans le sud du parc de la mer de Corail. Des scientifiques aidés par le WWF les ont équipées de balises "satellite" fin septembre.
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Ces scientifiques, dont la spécialiste calédonienne des cétacés, Claire Garrigue, ont aussi enregistré des chants, photographié les nageoires caudales et prélevé de la chair de baleines à bosse près de l’île de Walpole. Les données recueillies ainsi que les informations sur le trajet des mammifères marins permettront de mieux protéger l’espèce. Ils ont ainsi découvert que les baleines se retrouvaient « mystérieusement » autour d’un mont sous marin nommé Antigonia. Reste à savoir pourquoi ?
Cette opération baptisée Maracas permettra à l’avenir de mieux gérer les baleines à bosse d’Océanie. Leur population est aujourd’hui estimée à 6000 individus, moins de la moitié de ce qu’elles étaient au début du XIXème siècle avant d’être presque exterminées par les grandes chasses.
Cette opération baptisée Maracas permettra à l’avenir de mieux gérer les baleines à bosse d’Océanie. Leur population est aujourd’hui estimée à 6000 individus, moins de la moitié de ce qu’elles étaient au début du XIXème siècle avant d’être presque exterminées par les grandes chasses.
Pour suivre l'évolution de la migration des baleines à bosse, cliquez sur le lien ci-dessous :
http://urlz.fr/4aer
Les explications d'Antoine Letenneur sur des images de Nicolas Fasquel et de Jean-Michel Boré