Ce 1er septembre, devant le tribunal correctionnel de Nouméa, le champion de France amateur de boxe thaïlandaise, Jérémy Poircuitte. Il comparaissait pour violences volontaires.
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Les faits remontent au 28 juin 2015, après avoir échangé des propos virulents sur les réseaux sociaux, Jérémy Poircuitte et Jean Caba se croisent en boîte de nuit à Nouméa.
Au petit matin, alors que Jean Caba se dirige vers sa voiture, le champion de France amateur de boxe thaïlandaise lui assène deux coups de poings par derrière.
La victime de 24 ans est au sol, elle restera deux jours dans le coma.
Quant au procureur, il rappelle que le prévenu a déjà dans le passé été condamné pour violence conjugale. A l’époque, il avait échappé à la prison ferme. Aujourd’hui, 3 mois avec sursis, 2 ans de mise à l’épreuve et une obligation d’indemnisation sont requis à l’encontre du sportif.
Selon la défense, Jean Caba l’aurait insulté, lui et sa mère dans des mails.
Le prévenu ne s’excuse pas, bien au contraire.
ll a agi en premier et c’était pour lui la meilleure option.
La décision du tribunal sera donnée le 15 septembre.
Au petit matin, alors que Jean Caba se dirige vers sa voiture, le champion de France amateur de boxe thaïlandaise lui assène deux coups de poings par derrière.
La victime de 24 ans est au sol, elle restera deux jours dans le coma.
La partie civile souligne la violence de l’agression
Maître Châtain s'étonne de tant de violence de la part d'un athlète de haut niveau qui se doit d'être exemplaire.Quant au procureur, il rappelle que le prévenu a déjà dans le passé été condamné pour violence conjugale. A l’époque, il avait échappé à la prison ferme. Aujourd’hui, 3 mois avec sursis, 2 ans de mise à l’épreuve et une obligation d’indemnisation sont requis à l’encontre du sportif.
Pour la défense, il faut prendre en compte les causes des violences
L’avocat de Jérémy Poircuitte assume la responsabilité pénale de son client mais pour lui, il est nécessaire de savoir ce qui a provoqué sa colère.Selon la défense, Jean Caba l’aurait insulté, lui et sa mère dans des mails.
Le prévenu ne s’excuse pas, bien au contraire.
ll a agi en premier et c’était pour lui la meilleure option.
La décision du tribunal sera donnée le 15 septembre.