Mieux protéger les consommateurs et l’environnement: c’est l’objectif de l’avant-projet de loi du pays sur les pesticides, adopté mardi par le gouvernement. Les associations environnementales et de consommateurs réservent pour le moment leur avis sur le texte.
•
Le texte s’appuie sur des échanges nourris entre les services vétérinaires et phytosanitaires gouvernementaux, et les associations environnementales et de consommateurs, et a nécessité près de deux ans de mise au point. Un comité de sélection va se pencher de façon rigoureuse, selon le gouvernement, sur les produits qui n’auraient pas été agréés par l’Union Européenne, ou l’Australie et la Nouvelle-Zélande.
Autres points importants, les particuliers ne pourront plus se procurer de désherbants à usage professionnel ; les professionnels, eux, devront se former pour la détention et l’utilisation des pesticides à usage agricole. En ce qui concerne les produits phytopharmaceutiques à usage de jardin non agréés, ils seront interdits de manière progressive : à l’importation, à partir du 1er janvier 2018 ; à la distribution, au 1er janvier 2019 ; à l’usage, au 1er janvier 2020.
Les associations environnementales et de consommateurs réservent pour le moment leur avis sur ce texte ; le point d’achoppement restant l’autorisation des pesticides agréés par nos voisins australien et néo-zélandais.
Autres points importants, les particuliers ne pourront plus se procurer de désherbants à usage professionnel ; les professionnels, eux, devront se former pour la détention et l’utilisation des pesticides à usage agricole. En ce qui concerne les produits phytopharmaceutiques à usage de jardin non agréés, ils seront interdits de manière progressive : à l’importation, à partir du 1er janvier 2018 ; à la distribution, au 1er janvier 2019 ; à l’usage, au 1er janvier 2020.
Les associations environnementales et de consommateurs réservent pour le moment leur avis sur ce texte ; le point d’achoppement restant l’autorisation des pesticides agréés par nos voisins australien et néo-zélandais.
Les précisions de Philippe Dunoyer, porte-parole de l’exécutif
dunoyer itw