Le quartier de Presqu'île au François subit une importante invasion d'algues sargasses depuis le début de la journée (mercredi 7 mars).
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Les pêcheurs du François partis en mer ce matin (mercredi 7 mars 2018), ont été bien surpris de voir la transformation du paysage du quartier de la Presqu'île à leur retour.
Toute la baie subit l'invasion des algues Sargasses. "Lé i tè ronzè nou viré rantré épi sé ramm' lan, tèleman nou pa té pè épi sargasse la" (Nous sommes revenus de la pêche aux environs 11h, ce matin et nous avons dû utiliser les rames pour rentrer à cause de cette présence massive des algues sargasses), explique Richard Lagier, un marin-pêcheur du François, parti en mer avec ses collègues. "On n'avait jamais vu autant d'algues sargasses au François", disent les plus anciens. Le phénomène est impressionnant et un peu fascinant à la fois. Sauf que ces algues en se décomposant, au bout de trois ou quatre jours, font provoquer des émanations de sulfure d'hydrogène, entraînant des problèmes de santé, insomnies, dégradation des biens...
Les marins-pêcheurs sont totalement impuissants et annulent leurs sorties en mer jusqu'à nouvel ordre, en attendant que les autorités prennent les mesures nécessaires...si possible.
Toute la baie subit l'invasion des algues Sargasses. "Lé i tè ronzè nou viré rantré épi sé ramm' lan, tèleman nou pa té pè épi sargasse la" (Nous sommes revenus de la pêche aux environs 11h, ce matin et nous avons dû utiliser les rames pour rentrer à cause de cette présence massive des algues sargasses), explique Richard Lagier, un marin-pêcheur du François, parti en mer avec ses collègues. "On n'avait jamais vu autant d'algues sargasses au François", disent les plus anciens. Le phénomène est impressionnant et un peu fascinant à la fois. Sauf que ces algues en se décomposant, au bout de trois ou quatre jours, font provoquer des émanations de sulfure d'hydrogène, entraînant des problèmes de santé, insomnies, dégradation des biens...
Les marins-pêcheurs sont totalement impuissants et annulent leurs sorties en mer jusqu'à nouvel ordre, en attendant que les autorités prennent les mesures nécessaires...si possible.