Dans une lettre ouverte, l’historien Jean-Marc Régnault demande à « clore l’affaire Pouvana’a par deux mesures simples » : la modification des plaques posées au pied de la stèle de Pouvana’a, place Tarahoi, et la mise à jour des manuels scolaires.
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Il faut tirer les conséquences de la réhabilitation de Pouvana’a a Oopa, demande l’historien Jean-Marc Régnault dans une lettre ouverte. C’est le 25 octobre dernier, à Paris, que la cour de révision des condamnations pénales a décidé d'annuler la condamnation de Pouvana’a et par voie de conséquence de réhabiliter le Metua, 59 ans après son procès.
Quelques semaines plus tard, l’affaire n’est pas close, estime l’historien. Pour cela, il faudrait « que l’innocence de Pouvana’a soit enseignée » aux élèves du fenua et que les plaques situées au pied de la stèle de Pouvana’a, qui se dresse devant l’assemblée de la Polynésie, fassent l’objet d’une réécriture. « Il importe de mentionner qu’il a été condamné à tort. C’est important pour les visiteurs et encore plus pour la jeunesse de ce pays », souligne Jean-Marc Régnault au micro de Marie-Christine Depaepe :
Quelques semaines plus tard, l’affaire n’est pas close, estime l’historien. Pour cela, il faudrait « que l’innocence de Pouvana’a soit enseignée » aux élèves du fenua et que les plaques situées au pied de la stèle de Pouvana’a, qui se dresse devant l’assemblée de la Polynésie, fassent l’objet d’une réécriture. « Il importe de mentionner qu’il a été condamné à tort. C’est important pour les visiteurs et encore plus pour la jeunesse de ce pays », souligne Jean-Marc Régnault au micro de Marie-Christine Depaepe :
« Si l’assemblée s’en saisit, on trouvera une solution. »