Le président de la République a pris la parole pour une allocution solennelle depuis l'Elysée, la quatrième depuis le début de la crise du coronavirus. Tout le territoire en "zone verte", excepté la Guyane et Mayotte. Explications.
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Emmanuel Macron a pris la parole, dimanche 14 juin, pour une allocution depuis l'Elysée. Durant 20 minutes, il a annoncé la manière dont le pays allait "tourner la page du premier acte de la crise" du coronavirus. Tout le territoire en "zone verte", excepté la Guyane et Mayotte. Le président de la République a assuré que dès lundi 15 juin, "tout le territoire passera dans ce qu'il est désormais convenu d'appeler 'la zone verte'". Seuls Mayotte et la Guyane sont encore régis par des règles de confinement stricts.
Concernant la gestion de la crise, Emmanuel Macron n’a concédé aucune erreur. "Nous n’avons pas à rougir de notre bilan", a affirmé Emmanuel Macron.
Le président de la République s’est également exprimé sur le sujet de la lutte contre le racisme. A propos des débats sur l’Histoire et du déboulonnage des statues de certains personnages historiques, Emmanuel Macron a dit un Non catégorique.
Le chef du gouvernement est également revenu dans son allocution sur les violences policières et les manifestations qui ont eu lieu en Métropole ces dernières semaines. Les forces de l'ordre méritent "la reconnaissance de la Nation" a t-il déclaré. "Les policiers et les gendarmes méritent le soutien de la puissance publique et la reconnaissance de la Nation", a affirmé le chef de l'Etat.
Un appui aux forces de l'ordre alors que des manifestations ont lieu en France contre le racisme et les violences policières en hommage à George Floyd, tué par un policier aux Etats-Unis, et à Adama Traoré, mort après son interpellation dans le Val-d'Oise en 2016 dans des circonstances encore non élucidées.
Extrait
Concernant la gestion de la crise, Emmanuel Macron n’a concédé aucune erreur. "Nous n’avons pas à rougir de notre bilan", a affirmé Emmanuel Macron.
Extrait
Le président de la République s’est également exprimé sur le sujet de la lutte contre le racisme. A propos des débats sur l’Histoire et du déboulonnage des statues de certains personnages historiques, Emmanuel Macron a dit un Non catégorique.
Extrait
Le chef du gouvernement est également revenu dans son allocution sur les violences policières et les manifestations qui ont eu lieu en Métropole ces dernières semaines. Les forces de l'ordre méritent "la reconnaissance de la Nation" a t-il déclaré. "Les policiers et les gendarmes méritent le soutien de la puissance publique et la reconnaissance de la Nation", a affirmé le chef de l'Etat.
Un appui aux forces de l'ordre alors que des manifestations ont lieu en France contre le racisme et les violences policières en hommage à George Floyd, tué par un policier aux Etats-Unis, et à Adama Traoré, mort après son interpellation dans le Val-d'Oise en 2016 dans des circonstances encore non élucidées.