Une dizaine d'élèves de terminale du lycée professionnel Saint-Joseph de Pirae a réalisé une immense fresque de 75 mètres, le long du complexe sportif Boris Léontieff, à Arue. L'oeuvre a été officiellement inaugurée ce 13 décembre, en présence du maire de la commune.
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Une dizaine d'élèves de terminale bac pro Métiers d'Arts option Communication Visuelle et Plurimédia, du Lycée Professionnel Saint-Joseph de Pirae a réalisé une fresque de 75 mètres sur le mur du complexe sportif Boris Léontieff, à Arue.
L'oeuvre a été officiellement inaugurée ce 13 décembre, en présence du maire, Philip Schyle, des enseignants, des élèves et de la
direction des établissements.
La dizaine d'élèves a travaillé pendant huit semaines, sous la chaleur et dans la poussière, pour réaliser la fresque.
Cette fresque a fait l’objet d’un projet pédagogique interdisciplinaire lors du premier trimestre de cette année scolaire, coordonné par trois enseignants du lycée Saint-Joseph : Cécile Koessler, professeur de communication graphique, Christian Teanotoga, professeur de Communication artistique et Arts Appliqués et Karen Chong, professeur de communication multimédia. Les élèves ont d'abord réalisé une prémaquette représentant les différentes disciplines sportives proposées par les associations actives au sein du stade d’Arue (football, basket, taekwondo, crossfit…).
Les élèves, missionnés en tant que stagiaires de la commune d'Arue, ont commencé la fresque le 10 octobre. En huit semaines, ils ont donc terminé, malgré des conditions souvent difficiles : "de longues heures sous le soleil, une chaleur souvent écrasante dans la poussière en bord de route, parfois même des averses et le bruit incessant de la circulation... " explique Cécile Koessler, enseignante et chef de projet.
L'oeuvre a été officiellement inaugurée ce 13 décembre, en présence du maire, Philip Schyle, des enseignants, des élèves et de la
direction des établissements.
Les élèves, missionnés en tant que stagiaires de la commune d'Arue, ont commencé la fresque le 10 octobre. En huit semaines, ils ont donc terminé, malgré des conditions souvent difficiles : "de longues heures sous le soleil, une chaleur souvent écrasante dans la poussière en bord de route, parfois même des averses et le bruit incessant de la circulation... " explique Cécile Koessler, enseignante et chef de projet.
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