La Croix-Rouge continue de remplir des colis de première nécessité en faveur des nombreuses familles touchées par la crise post COVID-19. Les familles ne viennent pas se servir, les services sociaux des mairies établissent des listes précises.
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Même si la COVID-19 a pour l'heure disparue du territoire, la crise n'est pas derrière nous. A la Croix-Rouge, les colis COVID-19 sont toujours d'actualité. "On les appelle toujours comme ça car on reçoit des demandes des référents sociaux", explique Maeva Drach Directrice de la Croix-Rouge Polynésie.
Le virus ne circule plus mais la récession économique sera profonde et durable. Elle affecte principalement les artisans et les nouveaux chômeurs du tourisme. Il faut donc parer à l'urgence. Ces colis proposés par la Croix-Rouge ont une valeur d'environ 19 000 cfp pour une famille de cinq personnes. Ils sont préparés selon des critères très précis. "C'est par rapport à la composition familiale, suivant le nombre de personnes", confie Patricia Cazenave, responsable des épiceries solidaires de l'associaiton.
120 bénévoles se répartissent la tâche mais en ces moments de crise, ils ne sont pas assez nombreux. "On a beaucoup de colis à faire actuellement (...) Si on avait une troisième éuqipe pour nous épauler, on serait plus performant", souligne Jean-Michel Gaud, bénévole.
Le virus ne circule plus mais la récession économique sera profonde et durable. Elle affecte principalement les artisans et les nouveaux chômeurs du tourisme. Il faut donc parer à l'urgence. Ces colis proposés par la Croix-Rouge ont une valeur d'environ 19 000 cfp pour une famille de cinq personnes. Ils sont préparés selon des critères très précis. "C'est par rapport à la composition familiale, suivant le nombre de personnes", confie Patricia Cazenave, responsable des épiceries solidaires de l'associaiton.
120 bénévoles se répartissent la tâche mais en ces moments de crise, ils ne sont pas assez nombreux. "On a beaucoup de colis à faire actuellement (...) Si on avait une troisième éuqipe pour nous épauler, on serait plus performant", souligne Jean-Michel Gaud, bénévole.