Pour les Foulées du front de mer du 1er octobre prochain, 2 parcours, l'un de 15 et l'autre de 5 kilomètres sont prévus boulevard Pomare. Gros changement à venir : la gendarmerie passe le témoin à l'association sportive Courir en Polynésie pour l'organisation, par manque de moyens financiers.
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La gendarmerie vient d’annoncer qu’elle n’organisera plus les Foulées du front de mer. Cette course autrefois militaire est devenue il y a quelques années une course civile. Aujourd’hui, la gendarmerie n’a plus les moyens d’assumer la charge financière de l’événement. Elle a alors décidé de confier l’organisation de la course à l’association sportive courir en Polynésie (ASCEP). Une décision également prise pour soulager les effectifs de gendarmes.
Pierre Caudrelier, commandant général de la gendarmerie de Polynésie, s’en explique au micro de Floriane Hours :
Les bulletins d'inscription des Foulées du front de mer sont déjà en ligne.
En plus de ne plus organiser les Foulées du front de mer, d'autres gendarmes vont également manquer à l'appel. En effet, il y aura 49 gendarmes mobiles en moins au 1er novembre. Une conséquence de l'état d'urgence mais aussi des récentes violences en Guadeloupe et à Mayotte. Concrètement, cela va se traduire par moins de présence sur le terrain avec des patrouilles composées de deux gendarmes au lieu de trois actuellement. En un peu plus d'un an, la Polynésie française a perdu l'équivalent d'un escadron de gendarmes mobiles, soit 79 personnes.
Ecoutez les précisions du colonel Caudrelier interrogé par Jacques Damour :
Pierre Caudrelier, commandant général de la gendarmerie de Polynésie, s’en explique au micro de Floriane Hours :
Foulées du front de mer : la gendarmerie passe le relais
Les bulletins d'inscription des Foulées du front de mer sont déjà en ligne.
Moins de gendarmes mobiles
En plus de ne plus organiser les Foulées du front de mer, d'autres gendarmes vont également manquer à l'appel. En effet, il y aura 49 gendarmes mobiles en moins au 1er novembre. Une conséquence de l'état d'urgence mais aussi des récentes violences en Guadeloupe et à Mayotte. Concrètement, cela va se traduire par moins de présence sur le terrain avec des patrouilles composées de deux gendarmes au lieu de trois actuellement. En un peu plus d'un an, la Polynésie française a perdu l'équivalent d'un escadron de gendarmes mobiles, soit 79 personnes.
Ecoutez les précisions du colonel Caudrelier interrogé par Jacques Damour :