Pas de "copinage", pas d'influence politique marquée: c'est ce souhaite le fraîchement réélu Président de la FGC qui réclame depuis longtemps la mise en place d'une authentique réglementation sur la concurrence, pour faire baisser les prix. Un voeux pieu ?
Gilles Yau a été reconduit, en milieu de semaine dernière à la tête de la Fédération Générale du Commerce.
L’homme d’affaires tire un bilan positif de l’année 2013 sur les relations avec le gouvernement actuel.
Il souhaite, par ailleurs, revoir avec le gouvernement certains poins du plan de relance.
Le patron d'"Agritech" est favorable d’une haute autorité de la concurrence., mais une structure indépendante.
Il souhaiterait que tous les acteurs économiques soient représentés et prône la transparence.
Comme il l'affirme, "nous avions demandé depuis maintenant 10 ans qu'on puisse aboutir sur ce projet de loi de réglementation de la concurrence. Il est très important qu'il y ait cette autorité, qu'elle soit indépendante et non pas - excusez moi - nommée exclusivement par le Conseil des Ministres. Je pense qu'il est importantes que les différentes institutions comme le CESC, le Président de l'Assemblée, le Président du Pays, le Haut Commissaire, composent à tour de rôle et nomment les membres de cette Commission pour qu'on ait une composition qui soit la plus neutre possible. Vous savez qu'en Polynésie, tout le monde se connaît, et il y a quelques doutes à avoir si il y a une composition exclusivement politique".
L’homme d’affaires tire un bilan positif de l’année 2013 sur les relations avec le gouvernement actuel.
Il souhaite, par ailleurs, revoir avec le gouvernement certains poins du plan de relance.
Le patron d'"Agritech" est favorable d’une haute autorité de la concurrence., mais une structure indépendante.
Il souhaiterait que tous les acteurs économiques soient représentés et prône la transparence.
Comme il l'affirme, "nous avions demandé depuis maintenant 10 ans qu'on puisse aboutir sur ce projet de loi de réglementation de la concurrence. Il est très important qu'il y ait cette autorité, qu'elle soit indépendante et non pas - excusez moi - nommée exclusivement par le Conseil des Ministres. Je pense qu'il est importantes que les différentes institutions comme le CESC, le Président de l'Assemblée, le Président du Pays, le Haut Commissaire, composent à tour de rôle et nomment les membres de cette Commission pour qu'on ait une composition qui soit la plus neutre possible. Vous savez qu'en Polynésie, tout le monde se connaît, et il y a quelques doutes à avoir si il y a une composition exclusivement politique".