A la CPS, au 16ème jour de grève, le mouvement s'enlise et les négociations ne donnent toujours rien. Du côté de l'Huilerie de Tahiti, les grévistes attendent le retour de leur patron pour entamer le dialogue. A Taravao, un préavis de grève a été déposé, elle pourrait être effective dès demain.
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Mardi 7 avril, les négociations ont été difficile à la CPS. L’intersyndicale a été convoquée vers 15h00 par le président du conseil d’administration, Yves Laugrost. Mais, quatre heures plus tard, un premier clash est survenu avec la CSIP. A la table des négociations, sont restés les syndicats Otahi, O oe to oe Rima, la CSTP-FO et le syndicat des cadres. A 21 heures, c’est au tour des deux délégués O Oe to oe Rima de quitter la table des négociations. A 22 heures, aucun protocole d’accord n’avait été signé.
Écoutez les explications d'Eugene Sommer au micro de notre journaliste Gilles Tautu
En attendant de trouver un terrain d’entente, la direction de la Caisse de Prévoyance Sociale a libéré l’entrée du siège, mardi 7 avril. Les encombrants ont été enlevés et la grille a pu s’ouvrir. Les agents non grévistes ont donc pu retrouver leur poste de travail. La direction a également tenu à rassurer, une nouvelle fois, les usagers sur le paiement des prestations.
Écoutez Doriane Domingo du service de la communication, interrogée par Gilles Tautu.
Cette réouverture des portes était très attendue des usagers de la CPS qui ont pu effectuer leurs démarches administratives. Mais il n’y avait pas foule comme l’a constaté Gilles Tautu.
Écoutez le reportage de Gilles Tautu
Le mouvement social ne s'étend pas qu'à la CPS. En effet, à Taravao, un préavis de grève a été déposé à l’hôpital. Mardi 7 avril au soir, les syndicats ont rencontré la direction de la Santé. Parmi les points de revendications : le paiement des heures supplémentaires, l’amélioration des conditions de travail et le respect du dernier protocole d’accord.
Écoutez Patrick Galenon, secrétaire général de la CSTP / FO, au micro de Gilles Tautu
Si aucun accord n’est trouvé, la grève sera effective demain, jeudi 9 avirl, à l’hôpital de Taravao.
Du côté de l’Huilerie de Tahiti, ils entament leur 7ème jour de grève et attendent toujours le retour cette semaine du directeur, en déplacement à l'étranger, pour entamer le dialoguer. Au cœur des revendications : des augmentations de salaires et la suppression des caméras de surveillance.
Mais ce mouvement a une conséquence sur le marché du coprah puisque ce dernier n’est plus ramassé dans les Tuamotu. Les producteurs estiment être pris en otage.
Écoutez les explications d'Eugene Sommer au micro de notre journaliste Gilles Tautu
(FRA) EUGENE SOMMERS.mp3
En attendant de trouver un terrain d’entente, la direction de la Caisse de Prévoyance Sociale a libéré l’entrée du siège, mardi 7 avril. Les encombrants ont été enlevés et la grille a pu s’ouvrir. Les agents non grévistes ont donc pu retrouver leur poste de travail. La direction a également tenu à rassurer, une nouvelle fois, les usagers sur le paiement des prestations.
Écoutez Doriane Domingo du service de la communication, interrogée par Gilles Tautu.
(F) DORIANE DOMINGO - CPS GREVE.mp3
Cette réouverture des portes était très attendue des usagers de la CPS qui ont pu effectuer leurs démarches administratives. Mais il n’y avait pas foule comme l’a constaté Gilles Tautu.
Écoutez le reportage de Gilles Tautu
trot CPS
Préavis de grève à Taravao
Le mouvement social ne s'étend pas qu'à la CPS. En effet, à Taravao, un préavis de grève a été déposé à l’hôpital. Mardi 7 avril au soir, les syndicats ont rencontré la direction de la Santé. Parmi les points de revendications : le paiement des heures supplémentaires, l’amélioration des conditions de travail et le respect du dernier protocole d’accord.
Écoutez Patrick Galenon, secrétaire général de la CSTP / FO, au micro de Gilles Tautu
(FRA) PREAVI GREVE HOPITAL TARAVAO.mp3
Si aucun accord n’est trouvé, la grève sera effective demain, jeudi 9 avirl, à l’hôpital de Taravao.
7e me jour de grève à l’huilerie de Tahiti
Du côté de l’Huilerie de Tahiti, ils entament leur 7ème jour de grève et attendent toujours le retour cette semaine du directeur, en déplacement à l'étranger, pour entamer le dialoguer. Au cœur des revendications : des augmentations de salaires et la suppression des caméras de surveillance.
Mais ce mouvement a une conséquence sur le marché du coprah puisque ce dernier n’est plus ramassé dans les Tuamotu. Les producteurs estiment être pris en otage.
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