Du producteur aux consommateurs. C'est le concept de « La ruche qui dit oui ! ». Mais rien à voir avec le miel. L'objectif est de mieux manger et aider les petits producteurs en court-circuitant la grande distribution, en ayant au préalable commandé sur Internet.
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Marie-Claude Bonnette a installé son petit faapu et sa vanillère à Tautira il y 10 ans. D’abord pour les amis et la famille, elle a vite été victime de son succès…Vanille, confitures, sirops, eau de coco et plants de basilic. Avec les produits de son jardin. En attente de sa certification bio, mais avec des technique déjà appliquées : engrais à base d’algues et de poisson, compagnonnage, etc.
Aujourd’hui, avec Ioane, en contrat CAE, Marie-Claude prépare ses premières commandes pour "La Ruche qui dit oui !" Les consommateurs ont directement commandé et payé sur le site Internet. Pas de risque d’invendu.
Dans le parc Paofai, Maheata Hutia et Audrey Lachaud, les responsables de ruche, installent les premiers stands. Objectifs : court-circuiter les grandes surfaces et consommer local. Directement du producteur au consommateur, ou presque. Car "La ruche qui dit oui "! prend 16,7% de commission. La moitié finance l’association locale. L’autre moitié, la ruche-mère à Paris.
Après 1h30 de route, Marie-Claude et Ioane rencontrent leurs clients pour la livraison. Quatre autres producteurs ont adhéré au concept : paraha peue, brioches, tartes tatin, chutneys, fruits et légumes bio, etc. Et les clients ont troqué leur liste de course pour leur smartphone où ils récupèrent leur bon de commande.
« La ruche qui dit oui ! » surfe ainsi sur la vague des entreprises sociales et solidaires. Les points de vente s’organisent désormais chaque vendredi, en fonction des pré-ventes sur Internet.
Retrouvez ce reportage ce soir dans notre Ve'a de 18h30 et notre JT de 19h.
Aujourd’hui, avec Ioane, en contrat CAE, Marie-Claude prépare ses premières commandes pour "La Ruche qui dit oui !" Les consommateurs ont directement commandé et payé sur le site Internet. Pas de risque d’invendu.
Dans le parc Paofai, Maheata Hutia et Audrey Lachaud, les responsables de ruche, installent les premiers stands. Objectifs : court-circuiter les grandes surfaces et consommer local. Directement du producteur au consommateur, ou presque. Car "La ruche qui dit oui "! prend 16,7% de commission. La moitié finance l’association locale. L’autre moitié, la ruche-mère à Paris.
Smartphone contre liste de course
Après 1h30 de route, Marie-Claude et Ioane rencontrent leurs clients pour la livraison. Quatre autres producteurs ont adhéré au concept : paraha peue, brioches, tartes tatin, chutneys, fruits et légumes bio, etc. Et les clients ont troqué leur liste de course pour leur smartphone où ils récupèrent leur bon de commande.
« La ruche qui dit oui ! » surfe ainsi sur la vague des entreprises sociales et solidaires. Les points de vente s’organisent désormais chaque vendredi, en fonction des pré-ventes sur Internet.
Retrouvez ce reportage ce soir dans notre Ve'a de 18h30 et notre JT de 19h.
Du producteur… à l’internaute consommateur !