Le nom de Jacques Merot n’est pas encore très connu mais il va le devenir. Le Président de l’Autorité de la Concurrence a effectué une visite protocolaire au CESC. L’occasion de réaffirmer l’importance de ses missions et son indépendance
Le président Angélo Frebault a reçu hier Jacques Merot, président de l’Autorité polynésienne de la Concurrence. Monsieur Makalio Folituu a assisté à cette rencontre en sa qualité de Vice-président du CESC.
Monsieur Merot a rappelé le rôle et les missions de l’Autorité polynésienne de la Concurrence. Composée de magistrats et d’experts, l’objectif majeur de cette entité nouvellement créée sera de faire appliquer les règles visant à la régulation de la concurrence. Tous les moyens seront mis en œuvre pour lutter contre les ententes et l’abus de position dominante. L’objectif est de permettre à toute entreprise de participer à la vie économique du Pays et d’être le plus compétitif possible afin d’être choisie pour son mérite et non pour sa « puissance ». Pour le consommateur final, cela se traduira par une meilleure offre de prix, une plus grande diversité et une meilleure qualité de produits et de services.
Le Conseil économique, social et culturel se félicite de la création d’une telle structure si importante dans l’application tant attendue en Polynésie française du droit de la concurrence. Il l’a maintes fois rappelé dans ses avis rendus en 2013 et 2014 .
Jacques Merot a tenu à rappeler que l’Autorité polynésienne de la Concurrence est véritablement indépendante du pouvoir politique, et qu’elle ne travaille pas contre les entreprises mais bien pour l’intérêt général. Outre la grande distribution, tous les secteurs économiques seront surveillés : transports, énergie, numérique, médias, agroalimentaire, etc
Monsieur Merot a rappelé le rôle et les missions de l’Autorité polynésienne de la Concurrence. Composée de magistrats et d’experts, l’objectif majeur de cette entité nouvellement créée sera de faire appliquer les règles visant à la régulation de la concurrence. Tous les moyens seront mis en œuvre pour lutter contre les ententes et l’abus de position dominante. L’objectif est de permettre à toute entreprise de participer à la vie économique du Pays et d’être le plus compétitif possible afin d’être choisie pour son mérite et non pour sa « puissance ». Pour le consommateur final, cela se traduira par une meilleure offre de prix, une plus grande diversité et une meilleure qualité de produits et de services.
Le Conseil économique, social et culturel se félicite de la création d’une telle structure si importante dans l’application tant attendue en Polynésie française du droit de la concurrence. Il l’a maintes fois rappelé dans ses avis rendus en 2013 et 2014 .
Jacques Merot a tenu à rappeler que l’Autorité polynésienne de la Concurrence est véritablement indépendante du pouvoir politique, et qu’elle ne travaille pas contre les entreprises mais bien pour l’intérêt général. Outre la grande distribution, tous les secteurs économiques seront surveillés : transports, énergie, numérique, médias, agroalimentaire, etc