Les extractions dans les lits de rivière sont scrutées par les associations de protection de l’environnement. La Punaruu et la Papenoo sont plus particulièrement visées. Chaque année, des centaines de milliers de m3 d’agrégats sont extraits par des entreprises.
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Un collectif se monte pour lutter contre les extractions sauvages d’agrégats dans les rivières de Tahiti. Après la Punaruu, la Papenoo est aujourd’hui menacée par ces pratiques pourtant sensées être réglementées par le Pays. Selon ce collectif, la réglementation est tout simplement bafouée.
Pour autant les associations de protection ne sont pas contre les extractions, elles sont d'abord favorables à un développement durable sans une destruction des rivières.
Yves Doudoute, le porte-parole du jeune collectif, est au téléphone de Caroline Farhi :
Chaque année, les besoins du Pays en matière d’agrégats sont estimés entre 500 000 et 1 million de m3.
Pour autant les associations de protection ne sont pas contre les extractions, elles sont d'abord favorables à un développement durable sans une destruction des rivières.
Yves Doudoute, le porte-parole du jeune collectif, est au téléphone de Caroline Farhi :
associations contre extractions agrégats rivières
Chaque année, les besoins du Pays en matière d’agrégats sont estimés entre 500 000 et 1 million de m3.