Depuis deux semaines, l’œuvre originale d’un artiste de Mataiea suscite la curiosité. Le jeune homme d’une vingtaine d’année a créé une armée de gardiens de pierre dans la source même du Vaima.
Lieu très fréquenté de la côte ouest, la source Vaima voit défiler jusqu’à 200 personnes pendant le week-end. Ces baigneurs partagent depuis quelques jours leur espace de détente avec des statues de pierres sorties de l’eau.
L’acte en soi a été relayé positivement sur les réseaux sociaux mais jeudi 27 avril dernier, un touriste désireux d’immortaliser la création, s’est vu demander un règlement contre photo par l’auteur. L’information est remontée le lendemain jusqu’au maire de la commune. Ce dernier a dépêché des policiers sur les lieux afin de constater les faits. Le jeune homme n’a pas nié les faits. Les muto’i lui ont signifié qu’une telle démarche était interdite.
Au vu des risques que présentent ses réalisations, les gardiens de la paix ont invité le jeune artiste à réduire le nombre de statues sur la base du principe de précaution. On en compte près d’une quarantaine mesurant jusqu’à 50 centimètres de hauteur pour les plus grandes.
Pour l’instant la commune n’a pas décidé si l’artiste devait ou non détruire son œuvre.
L’acte en soi a été relayé positivement sur les réseaux sociaux mais jeudi 27 avril dernier, un touriste désireux d’immortaliser la création, s’est vu demander un règlement contre photo par l’auteur. L’information est remontée le lendemain jusqu’au maire de la commune. Ce dernier a dépêché des policiers sur les lieux afin de constater les faits. Le jeune homme n’a pas nié les faits. Les muto’i lui ont signifié qu’une telle démarche était interdite.
Au vu des risques que présentent ses réalisations, les gardiens de la paix ont invité le jeune artiste à réduire le nombre de statues sur la base du principe de précaution. On en compte près d’une quarantaine mesurant jusqu’à 50 centimètres de hauteur pour les plus grandes.
Pour l’instant la commune n’a pas décidé si l’artiste devait ou non détruire son œuvre.