Mercredi 24 janvier, en Polynésie, les surveillants affiliés au syndicat UFAP/UNSA se réuniront par solidarité avec leurs collègues de métropole. Ils craignent que la radicalisation ne gagne un jour les prisons polynésiennes.
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C'est l'une des crises pénitentiaires les plus importantes depuis 25 ans. Victimes de violences récurrentes, les surveillants de prison réclament le rétablissement de la sécurité républicaine. En Polynésie française, le problème est moindre mais la radicalisation des détenus n'est pas à négliger pour autant selon le syndicat UFAP/UNSA.
Mercredi 24 janvier, en Polynésie, les surveillants affiliés au syndicat UFAP/UNSA se réuniront par solidarité avec leurs collègues de métropole. Le mouvement "symbolique" ne devrait pas perturber le fonctionnement des prisons.
Mercredi 24 janvier, en Polynésie, les surveillants affiliés au syndicat UFAP/UNSA se réuniront par solidarité avec leurs collègues de métropole. Le mouvement "symbolique" ne devrait pas perturber le fonctionnement des prisons.