Dans le bus, le masque est obligatoire. Depuis le début de la semaine, un contrôle est mis en place pour vérifier l'effectivité de la mesure. Les policiers de la DSP sont chargés de l'effectuer. Quelques réfractaires ont dû s'acquitter d'une amende de 16.000 Fcfp, le message est vite passé.
•
Déjà sollicités sur tous les fronts, ils ont désormais une mission supplémentaire. Celle de surveiller que la population soit protégée avec un masque partout où son port est obligatoire. Dans les bus qui desservent les districts de Tahiti, les agents de la DSP ont déjà dû verbaliser. "On a commencé par la prévention pour leur rappeler les règles et le pourquoi, mais on a eu affaire à des personnes très réticentes, désinvoltes, on ne pouvait pas faire autrement que de les verbaliser", explique le major Pierre Estall, de la DSP Papeete.
Les bus ne sont pas tous moderners et climatisés, il n'est donc pas toujours simple pour les passagers de se plier aux nouvelles consignes en vigueur. "Au début, ça été dur, admet Jasmine, conductrice de bus, Mais après à la longue, ils ont compris". Quelques réfractaires ont dû s'acquitter d'une amende de 16.000 Fcfp, le message est depuis vite passé...
Les bus ne sont pas tous moderners et climatisés, il n'est donc pas toujours simple pour les passagers de se plier aux nouvelles consignes en vigueur. "Au début, ça été dur, admet Jasmine, conductrice de bus, Mais après à la longue, ils ont compris". Quelques réfractaires ont dû s'acquitter d'une amende de 16.000 Fcfp, le message est depuis vite passé...