Dans un communiqué de presse, la ministre de l'Education a tenu à rappeler les précautions à prendre dans le domaine des pratiques sportives. Ainsi, les manifestations pour lesquelles il n'est pas possible d’estimer le nombre de participants doivent être reportées ou annulées.
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Parmi les premières précautions à prendre, la ministre de l'Education revient sur les rassemblements de plus de 50 personnes, qui sont soumis à une déclaration préalable auprès du haut-commissariat. Les organisateurs de manifestations sportives doivent "s’interroger sur leur capacité effective à faire respecter les gestes barrières pour le public et à fournir les équipements (solution hydroalcoolique) en quantité suffisante", explique le communiqué de presse.
Ainsi, les manifestations sportives "pour lesquelles il ne serait pas possible d’estimer le nombre de personnes susceptibles d’assister à l’évènement ou pour lesquelles l’organisateur pourrait ne pas être en mesure de faire respecter les gestes barrières doivent être reportées ou annulées", précise le communiqué. En outre, les manifestations qui viendraient à ne pas être autorisées à se dérouler par décision de l’autorité administrative pourraient mettre en difficulté l’association sportive, au regard des engagements, notamment financiers, pris.
En revanche, les rassemblements sportifs ne dépassant pas les 50 personnes ne sont pas soumis à une déclaration préalable. Pour autant, l’organisateur doit veiller à ce que les modalités d’organisation permettent le respect des gestes barrières, notamment la distanciation physique.
Second point abordé dans ce communiqué, le port du masque. Comme le précisent les arrêtés du haut-commissaire du 13 août 2020 portant mesures de prévention pour faire face à l’épidémie de covid-19, "le port du masque est rendu obligatoire dans les lieux clos et les établissements recevant du public". Lorsqu'une activité professionnelle, quel que soit son lieu d'exercice, ne permet pas de maintenir la distanciation entre le professionnel et le client ou l’usager et le port du masque, "le professionnel concerné met en œuvre les mesures sanitaires de nature à prévenir les risques de propagation du virus".
Ainsi, les manifestations sportives "pour lesquelles il ne serait pas possible d’estimer le nombre de personnes susceptibles d’assister à l’évènement ou pour lesquelles l’organisateur pourrait ne pas être en mesure de faire respecter les gestes barrières doivent être reportées ou annulées", précise le communiqué. En outre, les manifestations qui viendraient à ne pas être autorisées à se dérouler par décision de l’autorité administrative pourraient mettre en difficulté l’association sportive, au regard des engagements, notamment financiers, pris.
En revanche, les rassemblements sportifs ne dépassant pas les 50 personnes ne sont pas soumis à une déclaration préalable. Pour autant, l’organisateur doit veiller à ce que les modalités d’organisation permettent le respect des gestes barrières, notamment la distanciation physique.
Second point abordé dans ce communiqué, le port du masque. Comme le précisent les arrêtés du haut-commissaire du 13 août 2020 portant mesures de prévention pour faire face à l’épidémie de covid-19, "le port du masque est rendu obligatoire dans les lieux clos et les établissements recevant du public". Lorsqu'une activité professionnelle, quel que soit son lieu d'exercice, ne permet pas de maintenir la distanciation entre le professionnel et le client ou l’usager et le port du masque, "le professionnel concerné met en œuvre les mesures sanitaires de nature à prévenir les risques de propagation du virus".
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