Armes de guerres, fusils, casques ... Sous les bâches bleues installées entre les deux anciens ferries Aremiti, un vrai campement militaire s'est installé au port de Papeete. Une quarantaine de membres de l’association Airsoft Polynésie se sont donnés rendez-vous ce samedi 15 octobre.
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La mission du jour : une prise d’otage sur un bateau. Ainsi, c’est à bord de l’ancien Aremiti Corsaire, amarré dans le port de Papeete, prêté par la compagnie et transformé pour l’occasion en zone de guerre, que la partie s’est déroulée ce samedi matin. D’un côté, l’équipe verte ayant pris plusieurs membres d’équipage en otage ; de l’autre, l’équipe noire qui doit intervenir pour libérer les otages.
Equipés, casqués et armés comme de vrais professionnels de la guerre, cette quarantaine d’amateurs de Air Soft se sont ainsi amusés toute la journée à des jeux de rôles à bord du ferry. Dans leurs armes : des billes bio, qui ne tâchent pas comme les billes de paintball, et qui sont facilement récupérables à l’aide d’aspirateurs ou de souffleurs en fin de parties.
Positionnement en groupe, intervention rapide et efficace, en une quinzaine de minutes, l’équipe noire réussit à libérer les otages et empêcher la verte de s’échapper. A tour de rôle chacun peut ainsi se mettre dans la peau du méchant ou du gentil et surtout passer un bon moment avec d’autres passionnés de cette activité. L'association a été conseillé par des experts en sécurité. "Cela pemet d'apporter aux joueurs d'avoir une approche différente et apprnedre des techniques particulières", explique Stéphane Boutheon, président de l'association Airsoft Polynésie.
Une fois la partie terminée, l'heure est à la détente. On redescend pour recharger les armes et boire un coup. L’association devrait faire une prochaine rencontre avec comme scénario : des humains contre des zombies. Avis aux amateurs de sensations fortes.
Equipés, casqués et armés comme de vrais professionnels de la guerre, cette quarantaine d’amateurs de Air Soft se sont ainsi amusés toute la journée à des jeux de rôles à bord du ferry. Dans leurs armes : des billes bio, qui ne tâchent pas comme les billes de paintball, et qui sont facilement récupérables à l’aide d’aspirateurs ou de souffleurs en fin de parties.
Positionnement en groupe, intervention rapide et efficace, en une quinzaine de minutes, l’équipe noire réussit à libérer les otages et empêcher la verte de s’échapper. A tour de rôle chacun peut ainsi se mettre dans la peau du méchant ou du gentil et surtout passer un bon moment avec d’autres passionnés de cette activité. L'association a été conseillé par des experts en sécurité. "Cela pemet d'apporter aux joueurs d'avoir une approche différente et apprnedre des techniques particulières", explique Stéphane Boutheon, président de l'association Airsoft Polynésie.
Une fois la partie terminée, l'heure est à la détente. On redescend pour recharger les armes et boire un coup. L’association devrait faire une prochaine rencontre avec comme scénario : des humains contre des zombies. Avis aux amateurs de sensations fortes.
La team Airsoft assiège l'Aremiti