Trop d'attente pour l'IRM du Taaone

L'irm du Taaone
Entre deux et trois mois : c’est le délai d’attente pour obtenir un rendez-vous à l’IRM du Taaone. L’appareil tourne à plein régime et fonctionne 12 heures par jour. Il faudrait un deuxième appareil pour satisfaire la demande.






L'imagerie par résonance magnétique (IRM) est une technique d'imagerie médicale permettant d'obtenir des vues en deux ou en trois dimensions de l'intérieur du corps. L'irm étudie avec une grande précision de nombreux organes tels que le cerveau, la colonne vertébrale, les articulations et les tissus mous.
Entre deux et trois mois : c’est le délai d’attente pour obtenir un rendez-vous à l’IRM du Taaone. L’appareil tourne à plein régime et fonctionne 12 heures par jour. Il faudrait un deuxième appareil pour satisfaire la demande.

L'irm du Taaone

L'irm est d'une grande utilité lorsqu'une analyse très fine est nécessaire et que certaines lésions ne sont pas visibles sur les radiographies standards, l'échographie ou le scanner.

En Polynésie, les praticiens du secteur public et ceux du secteur privé se partagent les créneaux horaires de l’IRM de l’hopital si bien que l’appareil fonctionne 12 heures par jour : de 7 heures à 19 heures, en plus des urgences. L'imagerie par résonance magnétique (IRM) est une technique d'imagerie médicale permettant d'obtenir des vues en deux ou en trois dimensions de l'intérieur du corps. L'irm étudie avec une grande précision de nombreux organes tels que le cerveau, la colonne vertébrale, les articulations et les tissus mous.

L'irm est d'une grande utilité lorsqu'une analyse très fine est nécessaire et que certaines lésions ne sont pas visibles sur les radiographies standards, l'échographie ou le scanner.

En Polynésie, les praticiens du secteur public et ceux du secteur privé se partagent les créneaux horaires de l’IRM de l’hopital si bien que l’appareil fonctionne 12 heures par jour : de 7 heures à 19 heures, en plus des urgences. Ecoutez les explications de Jean-Marie Savio, le secrétaire général du CHPF au micro d’Hélène Harté :


Une autorisation pour disposer d’un second scanner a été ouverte pour le secteur privé et les dépôts de candidature viennent d’être clos. L’appareil coûte cher : près de 200 millions de francs pacifiques. Ce second appareil permettrait de couvrir les besoins de la population polynésienne en accord avec ce que préconise la carte sanitaire.