Mardi 16 août, le tribunal correctionnel a examiné 15 dossiers concernant des dossiers mineurs. L’ audience a surtout été marquée par une série d’affaires d’abus de biens sociaux dont une en particulier qui concerne un récidiviste.
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Parmi les six affaires d'abus de biens sociaux, une en particulier retient l'attention. L'accusée de 58 ans est un récidiviste. L'homme a été plusieurs fois condamné entre 1994 et 2012. Toujours pour les mêmes motifs : abus de biens sociaux. L'homme qui a fait plusieurs séjours en prison, est une nouvelle fois jugé. L'affaire concerne... toujours un abus de biens sociaux.
A l'époque des faits, l'accusé se présente à une dame comme étant un vendeur de véhicule potentiel. La victime lui fait confiance et croit en ses propos. Elle lui verse alors un accompte en deux fois. Le premier s'élève à 125.000 fcp, le deuxième à 50.000 fcp. Puis, plus rien, plus aucunes nouvelles. C'est à ce moment-là que la victime comprend qu'elle s'est faite arnaquer. Mardi 16 août, l'accusé a été condamné à huit mois de prison supplémentaires, il doit aussi rembourser la victime. L'accusé a la possibilité de demander une aménagement de sa peine sous condition de porter un bracelet électronique.
"Je suis soulagée. Mais cela m'apprendra, je fais trop confiance aux gens", a confié la victime Tanata Tematahotoa. De son côté, le conseil de l'accusé, Me Hayoun, explique que son client, qui dort aujourd'hui à Nuutania, est suivi par un psychologue une fois par mois. "Il faut espérer que ces séances lui feront du bien et lui éviteront de recommencer", ajoute le l'avocate au micro de Teupoo Avae-Fatupua
A l'époque des faits, l'accusé se présente à une dame comme étant un vendeur de véhicule potentiel. La victime lui fait confiance et croit en ses propos. Elle lui verse alors un accompte en deux fois. Le premier s'élève à 125.000 fcp, le deuxième à 50.000 fcp. Puis, plus rien, plus aucunes nouvelles. C'est à ce moment-là que la victime comprend qu'elle s'est faite arnaquer. Mardi 16 août, l'accusé a été condamné à huit mois de prison supplémentaires, il doit aussi rembourser la victime. L'accusé a la possibilité de demander une aménagement de sa peine sous condition de porter un bracelet électronique.
"Je suis soulagée. Mais cela m'apprendra, je fais trop confiance aux gens", a confié la victime Tanata Tematahotoa. De son côté, le conseil de l'accusé, Me Hayoun, explique que son client, qui dort aujourd'hui à Nuutania, est suivi par un psychologue une fois par mois. "Il faut espérer que ces séances lui feront du bien et lui éviteront de recommencer", ajoute le l'avocate au micro de Teupoo Avae-Fatupua
tribunal correctionnel / témoignage